Après avoir lu "[i]Le Cinéma Total[/i]", de René Barjavel (et je remercie vraiment Tonnerre
) qui est un essai sur le cinéma, son évolution, ses défauts, sur la nostalgie du muet et du noir et blanc, sur l'avenir et la technologie, la science qui le feront se tranformer--essai assez visionnaire et très intelligent--, j'ai commencé, toujours dans le bus..., à lire "[i]Le Pendule de Foucault[/i]", d'Umberto Eco (depuis le temps que je veux le lire !!!)
[img]http://images-eu.amazon.com/images/P/2253059498.08.MZZZZZZZ.jpg[/img]
Bien sûr, je ne peux le lire en VO, je ne parle pas italien... Je trouve cependant que la traduction française (de Jean-Noël Schifano) semble très bien faite... En tout cas, on part dans une envolée de mots, une envolée de délires dès le départ, et cependant, on ressent , à travers l'humour, la tension que subit le personnage principal...
[i][u]Description[/u] :
Après l'immense succès du[/i] Nom de la rose[i], voici le second grand roman d'un géant incontesté de la littérature mondiale. A Paris, au Conservatoire des Arts et Métiers où oscille le pendule de Foucault, Casaubon, le narrateur, attend le rendez-vous qui lui révélera pourquoi son ami Belbo se croit en danger de mort. A Milan, trois amis passionnés d'ésotérisme et d'occultisme ont imaginé par jeu un gigantesque complot ourdi au cours des siècles pour la domination mondiale. Et voici qu'apparaissent en chair et en os les chevaliers de la vengeance... Telles sont les données initiales de ce fabuleux thriller planétaire, incroyablement érudit et follement romanesque, regorgeant de passions et d'énigmes, qui est aussi une fascinante traversée de l'Histoire et de la culture occidentales, des parchemins aux computers, de Descartes aux nazis, de la kabbale à la science. Un de ces romans que l'on n'oublie plus jamais. Et assurément un classique. [/i]
[b]Mad : [url=http://www.eapoe.org/works/tales/mystfb.htm]R. von Jung[/b][/url]
[img]http://img125.imageshack.us/img125/3218/terrybanis5.jpg[/img]