Ces mystérieux objets volants...

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Mad
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Ces mystérieux objets volants...

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Voici un article que j'ai retrouvé dans un journal régional... je le mets en plusieurs fois pour que ce soit plus digeste ! :

CES MYSTERIEUX OBJETS VOLANTS…
(mars-avril 1974, L’Yonne Républicaine)

Une grande enquête d’actualité


Une grande enquête d’actualité de Raoul Foin. Retraité de l’enseignement, M. Raoul Foin, de Villeneuve-sur-Yonne, par ailleurs correspondant de l’Yonne Républicaine, est—si l’on peut dire–un spécialiste des OVNIs. Introduit dans les milieux scientifiques qui étudient ces questions, auteur de nombreuses conférences et d’un livre « Les Mystères qui nous entourent », paru en 1968, M. Raoul Foin se passionne pour ces OVNIs. Il a réuni une extraordinaire documentation de laquelle il a tiré la série d’articles dont nous commençons aujourd’hui la publication. Quelle que soit l’opinion du lecteur sur le sujet, on peut pas ne pas être intéressé par son récit, dans lequel abondent de troublantes précisions.


I- Depuis quand voit-on des objets non identifiés ?

Un jour, le grand mathématicien Einstein disait à des journalistes que ces objets volants (qu’on appelait alors des soucoupes volantes) étaient pilotés par un peuple qui avait quitté la Terre, il y a 10000 ans ! Ils revenaient, en somme, en pèlerinage aux sources. Mais s’ils avaient quitté la Terre, c’est qu’ils avaient les moyens de transport nécessaires pour le faire. [(Entre crochets : notes personnelles de Mad) N’ai pas souvenir qu’Einstein ai dit cela… mais je ne suis pas non plus au courant de tous ses dires…] Il s’agissait donc de peuples d’une technique très évoluée, plus évoluée que la nôtre. Donc d’une des civilisations inconnues, qui nous ont précédés et qui ont disparu à la suite des grands bouleversements du globe. La civilisation de cette Atlantide (dont nous parle Platon) était une de celles-là et elle habitait un continent aujourd’hui disparu sous les mers.


En effet, si l’on remonte aux sources de notre humanité actuelle, on trouve, à toutes les époques du monde, et dans toutes les traditions, des histoires d’oiseaux de fer ou de feu, d’engins volants qui traversaient le ciel ou se posaient sur le sol. Les héros ou demi-dieux de l’Antiquité, comme Hercule ; ces géants dont nous parle aussi la Bible (voyez, dans la Genèse : « En ce temps-là des géants étaient sur la Terre. . . »), tous ces personnages là nous sont souvent présentés comme arrivant du ciel. Donc, ils étaient très probablement des visiteurs extra-terrestres.

Ils entrèrent en contact charnel avec les femmes de la Terre et eurent des enfants, eux-même exceptionnels [Cela ne vous rappelle pas quelque chose ? Eh oui, William !], puisque leur vie était beaucoup plus longue que celle des hommes ordinaires (voyez, dans la Bible, ces gens qui vivent, comme Mathusalem, des 700, 800 et même 900 ans !). Certains peuples, d’après les traditions des populations indiennes d’Amérique, communiquaient avec les planètes voisines, comme en témoigne ce calendrier vénusien trouvé sur les pierres en ruine de la ville de Tihuanhaco, dans la Cordillère des Andes. Ville construite par on ne sait qui, il y a des milliers d’années. Une légende des Andes nous rapporte l’histoire d’Oréjana, la femme au crâne ovoïde, aux grandes oreilles et aux mains à 4 doigts, qui venait de la planète Vénus.

Les traditions asiatiques et notamment les récits indous nous confirment dans l’idée que des engins volants interplanétaires existaient dans les civilisations terrestres disparues aujourd’hui. Certains engins, de dimensions énormes, pouvaient voyager jusque dans les galaxies lointaines, bien au-delà de notre système planétaire. Les traditions des esquimaux, également, parlent d’oiseaux de fer qui les auraient transportés dans les régions du grand Nord, alors qu’ils étaient originaires d’Asie. [Une explication aux similitudes morphologiques entre asiatiques et Inuits ??]
Il est hautement probable que les hommes de ces civilisations disparues possédaient la force nucléaire. Car de nombreux récits font allusion à des projectiles détruisant d’un seul coup des villes entières, dans un éclair aveuglant, brûlant des forêts immenses par le seul souffle de l’engin. Dans le sanscrit et dans le vieux chinois, mieux étudiés de nos jours, on retrouve des quantités de faits semblables. [Mais, pourquoi ne pas parler de météorites ? Ce qui me rappelle Tunguska…]


En revenant plus près de nous, dans la Bible, on trouve l’épisode de la femme de Loth qui ne devait pas se retourner, à cause d’un éclair aveuglant, lors de la destruction de Sodome et Gomorrhe. Elle se retourna et fut changée, dit le texte biblique, en statue de sel. C’est-à-dire pétrifiée, aveuglée et desséchée par ce feu, probablement radioactif justement, pour confirmer cette hypothèse, des savants soviétiques ont récemment découvert, dans le voisinage, des traces de sables vitrifiés et littéralement fondus par une température formidable qui, à la réflexion, ne pouvait provenir que d’une explosion nucléaire, à une lointaine époque, de plusieurs milliers d’années. [Il y a un épisode où Mulder remarque, au bord d’un lac, du sable vitrifié]
Lisons, toujours dans la Bible, la description d’un engin volant, qui est apparu à Ezéchiel : « Je regardais, et voici, il vint du Septentrion, un vent impétueux avec une grosse nuée, qui répandit de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l’airain poli, sortant du milieu du feu. Au centre encore, apparaissaient 4 animaux dont l’aspect avait une ressemblance humaine.
Ils avaient des mains d’homme sous leurs ailes. Je regardais ces animaux et voici qu’il y avait une grosse roue sur la terre, près d’eux. . . leur structure était telle que chaque roue paraissait être au milieu d’une autre roue. . . Elles avaient une circonférence énorme et une hauteur effrayante, et ces 4 roues étaient remplies d’yeux tout autour. . . Au-dessus de la tête de ces animaux il y avait comme un ciel de cristal resplendissant, qui s’étendait sur leur tête dans le haut. . . J’entendis qu’on appelait les roues : tourbillon. . . »

Si l’on étudie ce texte d’Ezéchiel, on y trouve, raconté avec les mots de l’époque, tout ce qui correspond de nos jours à un OVNI et à ses occupants : la roue de métal poli, brûlant et lumineux (parfois camouflée dans un nuage artificiel) des hublots tout autour ; ses occupants qu’il prend pour des animaux, avec un casque de matière brillante et transparente au-dessus de la tête, c’est leur scaphandre. Plusieurs fois on parle de roues de feu, dans ces textes, c’est bien connu. [Il y a là certainement des erreurs de traductions de la Bible ]
Le monde de l’Antiquité était familier de ces sortes d’apparitions. Chez les écrivains de l’époque romaine, on trouve souvent des récits où figurent ce qu’ils nomment des clipéi ardentes, c’est-à-dire des boucliers de feu. Or le bouclier romain, vu par la tranche, avait assez la forme d’une soucoupe . Parfois de nombreux témoins assistent à ces phénomènes.
C’est ainsi que Pline, qui nous a laissé une intéressante Histoire naturelle, nous raconte qu’à l’époque du consulat de Valérius et de Marcus, des 10aines d’objets volants lumineux se promenaient dans le ciel, sous les yeux de 100aines de spectateurs apeurés qui voyaient dans ces signes du ciel, de sinistres présages.
Le 2 août de l’an 216 avant Jésus Christ, le jour de la bataille de Cannes, on vit également un tel prodige, et ces engins en forme de barques, étaient descendus si près du sol qu’on pouvait observer les passagers qui se trouvaient à bord. Et beaucoup d’autres auteurs de l’antiquité grecque et latine ont parlé de telles visions : Pline le jeune et Pline l’ancien, Xénophon, Sénèque, l’historien grec Plutarque, le poète Eschyle, l’historien Tite Live, etc.

Au Moyen-Âge, on écrivait moins, la presse et la radio n’existaient pas [Ah bon ??! ;)], et presque toutes les observations ont été perdues.
Cependant, en l’année 1290, à l’abbaye de Bylant, en Angleterre, les moines, travaillant la terre, aperçurent un énorme disque rond et argenté, circulant au-dessus de leurs têtes, en plein jour, par un beau soleil. [Effet d’optique ? Mirage ?] Cela fut noté dans les archives par le prieur et on l’a retrouvé récemment.
En France, au mois d’août 1608, il se produisit sur la côte de Méditerranée, du côté de Gênes des phénomènes violents, bruyants et parfaitement observé par la population. Il y eut, paraît-il, des morts et des blessés ; et on a même tiré 700 coups de canon sur ces apparitions inexplicables et qui semblaient très dangereuses, mais sans succès évidemment. Encore un mystère ; car les OVNI de notre époque ne font aucun bruit ; pourquoi donc ceux-là étaient-ils si bruyants ? [En 400 ans, ils ont peut-être évolué aussi ! Après tout, à l’époque, les humains n’avaient ni voitures, ni avions, ni fusées, etc.] Des quantités d’autres signes bizarres ont été rapportés dans les siècles passés. Nous ne pouvons les examiner tous, il faudrait plusieurs volumes.

Arrivons au 19ème siècle. Un journal de Londres, le London Times, signale, le 9 janvier 1866, que des boules de feu aveuglantes ont survolé, quelques jours plus tôt la ville de Vence [J’en reviens à mes météorites… Ou les boules de cristal, comme dans Tintin !!!]. Le 1er août 1871, c’est la ville de Marseille qui est, à son tour, survolée par un énorme engin brillant, qui fait le tour de la ville et qui n’était évidemment ni un avion ni un ballon sonde ni un hélicoptère [Evidemment !]! Il a eu de nombreux témoins lui aussi. Mais c’est en 1883 que des astronomes du laboratoire de Zacatétas, au Mexique, prirent les 1ères photos du phénomène : des disques lumineux se promenant au-dessus de la mer et passant diamétralement devant le Soleil.

Et si l’on continue la recherche de telles apparitions, on en trouve la trace presque tous les ans dans la grande presse. Pendant la grande guerre de 1914-1918, un grave incident s’est produit (dont nous parlerons plus loin) près de la mer Noire, sur le front des Dardanelles, au nez des armées turques et britanniques qui combattaient là, l’une contre l’autre.
Et de nos jours, les moyens d’information étant de plus en plus développés, il ne se passe pas de semaine sans qu’on en parle.
Mad : R. von Jung

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II- A-t-on des preuves tangibles de leur existence ?

A cette importante question, on peut répondre : oui ! Et elles sont nombreuses ! Nous allons les passer rapidement en revue.

a- Les films et les photos.

Nous avons vu que les 1ères photos ont été prises en 1883, par des astronomes mexicains. Mais depuis lors et avec les progrès de la photographie, d’autres ont suivi, par milliers. Là encore, pour ne pas trop allonger, je ne citerai que 2 cas, parmi les plus récents : le 7 mai 1952, des journalistes de Rio de Janeiro se rendaient dans l’île de Tijuca pour faire un reportage, quand l’un d’eux, Martins, attira les regards de son collègue sur le ciel. Un étrange engin qui n’était ni un oiseau ni un avion [Superman ?!] approchait sans bruits dans la baie. Le ciel était pur et dégagé. Keffel prit son appareil photo et fit 5 clichés au 500è de cet objet qui volait à environ 1000 m d’altitude et sous un angle de 45 degrés avec l’horizon. Ces 5 clichés sont parmi les meilleurs que possèdent les Brésiliens et représentent un objet en forme de disque avec des protubérances superposées. Un des clichés le montre, vu par la tranche. Toutes ses photos ont paru dans la presse brésilienne. Ils ont été examinés par les bureaux de l’US Air Force, aux Etats-Unis qui les ont reconnus pour authentiques, sans trucage et ont fini par les acheter pour une somme équivalente à 8 millions de nos anciens francs [Vrais anciens francs !] Inutile de dire qu’ils y attachaient une importance énorme.

A un autre endroit, dans l’Alaska, Mikel Conrad a pris, en 1949, un très long film (300 m de pellicule) à environ 70 km au nord d’un pays nommé Juneau. Il s’agissait là des évolutions de 8 OVNI qui ont circulé, atterri et décollé pendant très longtemps. Cette fois, là aussi, le film fut appréhendé par les bureaux militaires des USA qui l’examinèrent longuement, en prirent sans nul doute, des copies et ne le rendirent à son propriétaire qu’un an après. [L’Homme à la Cigarette, lui, l’aurait gardé !] Il était donc aussi pour eux d’un grand intérêt. Mais le secret étant de rigueur dans les armées, ils n’ont voulu faire aucune déclaration.

b- Les radars.

Très souvent aussi, mais pas toujours, les radars des aérodromes saisissent l’image des OVNI sur leur écran. Rappelons ce fait, désormais classique, qui s’est passé en France, à Orly, en février 1956. [Plusieurs épisodes mentionnent cela, dont « EBE », « Tempus Fugit », etc. il me semble]
Il a fait grand bruit à l’époque, dans la presse et à la radio. L’OVNI avait été vu par de nombreuses personnes, à Orly, au Bourget et au Vésinet.
Le radar d’Orly l’avait saisi sur son écran et put le suivre pendant 4h. L’opérateur se rendit compte, dès le début, qu’il n’avait pas l’image d’un avion, car le comportement de l’engin était fort différent, virages à angle droit, arrêts sur place, départs foudroyants, marche arrière surprenante [Comme dans « Gorge Profonde », par exemple], tout laissait supposer qu’il s agissait d’un monstre inconnu.
La grosseur était 2 fois celle des plus gros avions de l’époque. L’OVNI est passé près du Dakota piloté par le commandant Desavol qui l’a très bien observé, ainsi que tout son équipage. Tout le personnel de nuit qui travaillait à Orly l’a observé également à partir du sol. Le lendemain, on a voulu faire pression sur le pilote pour l’obliger à désavouer ce qu’il avait dit dans son rapport, mais il refusa de démentir. Alors, quelques jours plus tard, les officiels des ministères intéressés fabriquèrent, pour donner à la presse, une explication embrouillée pour essayer de noyer le poisson [C’est ce qu’on appelle de la désinformation !!].

Les radars américains en savent beaucoup, eux aussi, et même plus que les nôtres, pour avoir vécu des aventures tragiques, sur ce sujet.
Mais comme nous l’avons déjà dit, les militaires, qu’ils soient russes ou américains, gardent leurs observations au secret, jusqu’à présent. [C’est pour cela que je pense qu’X-Files faisaient peur aux autorités concernées…]
En effet, ils ont eu, eux, de véritables drames, en poursuivant des OVNI avec leurs avions de chasse. Le 7 janvier 1948, un engin inconnu, rond, est signalé au-dessus de Madisonville. A 13H45, l’aérodrome de Godman aperçoit l’objet à son tour. Tous les officiers de la base sortent et le voient. Le commandant ordonne à 3 chasseurs qui passent à ce moment là de le poursuivre. Les avions virent de bord et foncent sur l’objet. C’est le capitaine Manteil qui les commande. Il arrive à s’approcher de l’OVNI qui monte aussi vite que lui. Il signale qu’il est sous l’objet qui paraît être en métal et qui est énorme.
A 15h15, il dit qu’il n’arrive plus à rattraper l’objet qui monte plus vite que lui. C’est tout, on n’entendra plus parler de Manteil [ça aussi, ça me rappelle un épisode !]. Son avion a dû se désintégrer en plein ciel. On en retrouvera plus tard les débris calcinés au sol, éparpillés sur 5 km.

Une autre fois, 4 ans plus tard, le 20 décembre 1951, un autre grave accident se produit sur la côte ouest des USA. Le récit en est paru dans le journal « La Bourgogne Républicaine », sous la plume de notre confrère Charles Garreau. Il s’agit de 3 avions du type Sabre, à l’entraînement. Ils venaient d’atteindre l’altitude de 9000 m, Soudain, un message leur parvient, en phonie, d’une station d’écoute située à 200 km de là. On leur dit : « Un objet inconnu vient de survoler la base, son altitude est 10000 m, sa vitesse 6000 km/h. Essayez de l’intercepter et de l’observer. Attention ! Danger ! »
Aussitôt, les 3 Sabres se mettent en position de combat, ils montent à 11000 m. Ils voient arriver l’engin et foncent sur lui ! Mais l’histoire s’arrête là également. Car on n’a plus eu de nouvelles d’eux et quelques minutes plus tard, les débris des 3 appareils arrivèrent au sol où ils s’éparpillèrent . Sur les radars, au sol, on avait vu les 3 appareils s’approcher de l’OVNI et soudain se dissoudre et disparaître, tandis que l’engin continuait sa route. Là encore, l’US Air Force arrangea l’affaire pour la presse, en disant que 3 chasseurs à l’entraînement s’étaient malencontreusement heurtés en plein vol ! Et voilà comment on écrit l’histoire !

c- Les traces d’atterrissage

Venons-en maintenant à un 3ème type de preuve : les traces d’atterrissage, quand un engin s’est posé sur le sol. Elles sont assez fréquentes. Pratiquement, une fois sur 2, quand un OVNI a atterri, il a laissé des traces au sol, telles que : herbes foulées, cercles d’herbes grillées, empreintes de pieds métalliques, plus ou moins creuses, etc. Tous les témoignages, tous les rapports de gendarmerie, à ce sujet, en sont remplis. Je vais en donner ici 2, pris parmi tant d’autres :
Ce cas date du 24 avril 1964, à 18H, à Socorro, au Nouveau Mexique. Le témoin est un policier d’Etat, Lonnie Zamora. Il vit un objet brillant qui descendait verticalement, très éclairé, au-dessus du désert. Pensant à une explosion, il s’y rendit. Quand il fut tout près, l’objet décolla. Par radio, Zamora donna sa position à ces chefs. Les enquêteurs officiels furent les 1ers sur le terrain. Ils examinèrent le sol et remarquèrent de profondes empreintes creusées dans le sable du désert. Des parcelles de matières combustibles qui avaient dû se trouver sous l’engin finissaient de brûler. L’enquête montra que cet engin qui avait une forme d’oeuf était très évoluée techniquement.
Il n’était pas propulsé par fusée. Les analyses des fragments de carton qui s’étaient consumés au départ de l’engin montrèrent qu’aucune particule étrangère ne les avait touchés : il s’agissait donc de radiations, mais non pas de gaz d’échappement ou de flammes.

Autre cas : celui-ci s’est passé le 6 décembre 1973, à Fabrègues, dans l’Hérault. 2 adolescents passaient vers 18H45, près de la chapelle Saint-Baudile, en cyclomoteur, puis à pied. Ils ont vu, en contrebas, un engin circulaire posé sur des pieds, avec une coupole surmontée d’une sorte de bulle. 3 de leurs camarades, informés du fait [Comment ? Ils n’avaient pas de portables à l’époque !…], puis des automobilistes et plusieurs autres personnes sont venus et l’ont vu également [Veni, vedi… et pas vici…]. Après son départ, M. Rodriguez, cultivateur à Fabrègues, est retourné sur place en voiture, à 22h, et à la lumière des ses phares, il a constaté la présence de traces fraîches, 4 trous de 30 cm de large, formant entre eux un carré de 1,30 m de côté. Tout autour, la terre avait été comme balayée par un souffle. Renseignements pris, aucun hélicoptère ne s’était posé là. (Extrait du journal « Le Midi Libre »).

d- Les pannes d’électricité

Autre signe du passage de certains OVNI : souvent, ils ont déterminé à leur survol, des pannes d’électricité, plus ou moins importantes, mais en général, de courte durée. On suppose que cela provient du fait qu’ils dégagent un champ magnétique intense.
Ainsi, en novembre 1957, aux USA, tout le réseau électrique du fort de Levalland cesse de fonctionner, pendant qu’un gros disque inconnu [Ah, c’était pas un disque d’Elvis, en tout cas, à cette époque, il faisait un carton… A propos d’Elvis, vous savez qu’il est encore vivant ?! C’est pas moi, c’est Mulder qui l’a dit !] survole la forteresse.
En Italie, 2 tracteurs travaillant côte à côte dans un champ sont survolés par un OVNI. Celui qui marche à l’essence (donc allumage par bougies) voit son moteur stoppé ; l’autre qui marche avec un moteur diesel continue à tourner.
Donc, encore ici, le champ magnétique intense (estimé par les spécialistes à 2 millions de gauss [précision : le gauss (unité de mesure de l’induction magnétique) n’est plus employée de nos jours ; aujourd’hui nous utilisons le tesla ou le weber par m².]) a arrêté le courant d’allumage aux bougies ou à la bobine ; alors que le diesel qui s’allume sans courant et sans bougies n’a subi aucune perturbation.


e- Les atterrissages :

Une autre preuve importante se manifeste par les témoins des atterrissages. Ces témoignages sont souvent le fait de plusieurs personnes ; il s’ajoute à cela, parfois, des contacts très rares, il est vrai, avec des pilotes descendus de l’OVNI. Nous allons citer 4 de ces atterrissages, pris parmi les plus intéressants.
Celui-ci, qui a eu lieu le 19 août 1952, se situe aux Etats-Unis, près de Palm-Beach, en Floride. 3 scouts qui faisaient une sortie nocturne étaient commandés par Sonny Desvergers, âgé de 30 ans. Comme ils entraient dans une forêt de palmiers, celui-ci vit 6 lumières dans le ciel qui paraissaient plonger vers le bois. Ils pensèrent à un avion en panne et se mirent à faire des recherches. Après 400 m de parcours, ils virent à nouveau ces lumières comme pendues au faîte d’un arbre. Sonny alluma sa lampe et partit seul en éclaireur, disant aux autres de prévenir la police s’il n’était pas revenu dans 10 minutes. Il ne revint pas et les autres avertirent le shériff. Celui-ci arriva et on retrouva Desvergers qui venait au devant d’eux, pâle, tremblant et blessé. Il raconta qu’il s’était approché de l’engin qui était dans une clairière à quelques mètres du sol. Soudain, il ne vit plus le ciel, car il se trouvait sous l’objet qui dégageait une intense chaleur. Pris par la peur, il essaya de se sauver. Mais l’engin bascula un peu et il put voir la partie supérieure, avec un dôme. Ce dôme s’ouvrit et il aperçut un être vivant, en même temps qu’une sorte de boule de feu se précipitait sur lui. Une odeur infecte l’enveloppa et il s’évanouit. Quand il reprit connaissance, l’engin était parti ; il souffrait de son bras gauche, gravement brûlé et de sa gorge en feu. Tout son corps était endolori. Il fut ramené chez lui et les enquêteurs, les médecins examinèrent à fond ses blessures. Sa casquette, brûlée, et ses cheveux, roussis, furent emportés dans les laboratoires pour être examinés, mais jamais aucune conclusion ne fut donnée à cette enquête par les autorités compétentes.

Le 24 juillet 1950, à 11h du soir, raconte M. Blondeau, qui habite à Guyancourt, non loin de Paris : « J’étais allé prendre l’air dehors et j’ai entendu comme un bruits de vent violent. En me retournant, j’ai aperçu non loin de moi 2 formes grises, sombres, 2 engins ronds d’environ 5 m de diamètre ». M. Blondeau est un ancien pilote et tient le bar de l’Escadrille [Détail important ! Mais qui me donne comme un doute quant à la véracité de ses dires, ou tout au moins, de ce dont il a été témoin…], non loin du terrain d’aviation. Il est donc connaisseur en appareils [et d’autre chose…]. Il s’approcha de ces étranges objets et vit un être vivant descendre de chacun d’entre eux. Ces individus ayant forme humaine s’approchèrent d’un des engins et semblèrent effectuer une réparation, mais à mains nues, sans aucun outil. Nullement effrayé, M. Blondeau s’approchant encore, leur demanda s’ils étaient en panne. « Oui, mais pas pour longtemps ! » a répondu l’un d’eux en français correct, dit-il, mais un peu lent. . . A une autre question concernant les manettes qu’on apercevait à l’intérieur, l’homme, peu loquace, répondit d’un mot : « L’énergie ! » Et ce fut tout ! Ils remontèrent chacun dans leur engin qui ne s’était pas réellement posé à terre, mais qui flottait à un pied du sol environ (nous parlerons plus tard de cette élimination de la pesanteur) ; puis les OVNI s’étant cabrés à la verticale, ils disparurent avec un grand sifflement. Le tout avait duré environ 2 minutes, dit le témoin. Mais il n’osa en parler à personne, de peur qu’on se moque de lui. C’est un des rares exemples où il y ait eu échanges de quelques mots avec un voyageur de ces fameux OVNI, lesquels semblent plutôt fuir notre contact. Il est rapporté par notre confrère Jimmy Guieu, dans son livre sur les « Soucoupes », paru au Fleuve Noir.

Au mois de juillet 1965 se situe l’affaire de Valensole, petit village de Provence, non loin de Manosque. Elle est devenue classique et toutes les revues spécialisées en ont parlé, notamment, à Londres, la « Flying Saucer’s Review ». C’était un matin, M. Masse, le maire de Valensole, cultivateur de son état, et son frère étaient avec un tracteur dans son champ de lavande. Ils avaient remarqué que, depuis plusieurs mois, une rangée de plants de lavande était abîmée, comme si on venait cueillir ou arracher des plants. Or, ils apercevaient, en haut du champ, une masse sombre que de loin ils prirent pour une voiture. M. Massé pensant qu’il s’agissait peut-être des voleurs de lavande, se décida à les surprendre. Une vigne était proche ; il se glissa entre les perchées de vignes, assez hautes pour le cacher, ce qui lui permit d’arriver à proximité de l’engin. Ce n’était pas une voiture, mais un objet ovoïde, posé sur le sol. 2 petits êtres, de forme humaine, mais de taille basse en étaient descendus. Dès qu’ils aperçurent, à une 20aine de mètres, M. Masse, ils durent projeter sur lui un rayon inconnu, car il se sentit comme paralysé et incapable de rien bouger. Ils remontèrent alors dans leur engin qui s’éleva aussitôt et qui disparut presque instantanément à son regard. Ce n’est que quelques minutes après qu’il put, à nouveau, bouger et rentrer chez lui. A la suite de cet incident, il dormit sans arrêt, pendant plusieurs semaines, sans d’ailleurs être malade et sa femme devait le réveiller pour le faire manger.

4ème cas : c’est le 4 janvier 1954, sur le terrain d’aviation de Marseille-Marignanne. Vers 21H, le pompier Chesneau était de garde près du hangar Boussiron . Il aperçut, venant du sud, une boule réduite, se poser sur la piste, sans aucun bruit. Comme aucun avion n’était attendu, il voulut téléphoner à la tour de contrôle, mais l’appel resta sans réponse. Ensuite, l’engin dut repartir, car il ne vit plus rien. Ce n’est que le lendemain matin qu’un enquêteur découvrit sur la piste de nombreux débris métalliques, parmi lesquels des tiges longues se terminant par une boule, on ne sait à qui furent remis ces débris, ni à quoi ils pouvaient servir. Car, comme d’habitude, les autorités étouffèrent cet incident et on évita soigneusement la curiosité des journalistes, en disant qu’on ne savait rien de l’affaire qui a cependant été rapportée par Jimmy Guieu susnommé.

f- Les objets laissés sur place :

Nous venons de voir ces tiges métalliques. Mais plusieurs fois aussi, il a été signalé (notamment au-dessus du collège d’Oloron, dans les Pyrénées) des chutes de filaments gommeux, blanchâtres et translucides, après le passage des OVNI. Ces filaments, recueillis en grande quantité, brûlent comme de la cellulose, mais ceux qu’on a voulu conserver pour une analyse de laboratoire, ne se sont pas conservés ; mis en bocal clos, ils s’évaporaient si bien qu’on ne retrouvait plus bientôt aucune trace de ce corps et qu’on n’a jamais su de quoi ils étaient faits.

g- Mode de propulsion :

Quant au mode de propulsion des divers engins OVNI, on ne sait pas ce qu’il peut être. Il échappe, de toute évidence, à nos techniques habituelles. Tout ce qu’on peut déduire de leur comportement c’est qu’ils arrivent à supprimer la pesanteur, donc à échapper à l’attraction terrestre, ainsi qu’aux effets de l’accélération qui en sont la conséquence normale. Sur l’énergie qu’ils utilisent, toutes hypothèses sont permises. Toutefois, une des hypothèses les plus vraisemblables est celle du capitaine d’aviation Plantier qui suppose qu’ils utilisent des énergies naturelles, partout présentes dans l’univers, comme celle des rayons cosmiques. D’autres chercheurs ont supposé qu’une énergie inconnue de nous pourrait émaner des failles géologiques de notre sol, car les lieux d’atterrissage se situent presque toujours au voisinage de ces failles géologiques et ce pourrait être pour se recharger en énergie. . .
Enfin, leur vitesse, bien supérieure à celles des engins fabriqués actuellement sur la Terre, atteint facilement 20 à 30000 km à l’heure dans notre atmosphère, pourtant très résistante et dont ils savent sans doute éliminer le frottement et l’échauffement. On peut donc supposer que lorsque l’engin est sorti de cette atmosphère, il atteint des vitesses égales ou même supérieures à celle de la lumière, ce qui lui permet de rejoindre des planètes lointaines en quelques minutes. On sait, en effet, depuis quelques années seulement, que la vitesse de la lumière, n’est pas une vitesse limite, comme on l’avait cru jusqu’ici.
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III- Différentes formes d’OVNIs et différents aspects de leurs pilotes

Toujours d’après les observations, photographies et témoignages, il semble qu’on puisse classer les différentes formes d’objets volants examinés jusqu’ici, en 3 groupes :
a) Ceux qui affectent la forme allongée d’un cylindre ou d’un cigare [Pour Bill Clinton :D].
b) Ceux qui se rapprochent d’un disque plus ou moins renflé ou aplati, c’est–à-dire ceux qu’on avait tout d’abord nommés soucoupes pour cette raison. Ce sont, en effet, les plus nombreux dans les observations courantes.
c) Ceux qui affectent la forme d’une sphère, d’un ballon ou d’un œuf. Dans ce dernier groupe, on pourrait peut-être faire entrer ceux qui sont de forme cônique, comme celui poursuivi par le capitaine Manteli, mais ils sont extrêmement rares.

C’est la forme du disque qui a été, dans l’ensemble, le plus souvent décrite et qui est devenue le type classique. Nous en possédons, dans les archives spécialisées, de très nombreux clichés, dont une 12aine d’excellents.
C’est dans la forme du cigare qu’on trouve les plus gros engins, appelés parfois soucoupes-mères, parce qu’on a souvent vu revenir dans leur intérieur, comme rentrant à leur base, de nombreux disques [Par contre, ceci me rappelle « V »], beaucoup plus petits ; peut-être des disques-robots, envoyés comme observateurs. . .
Enfin, c’est dans la forme sphérique, la moins répandue, qu’il faut se méfier le plus des confusions, toujours possibles, et prendre le plus de précautions, lors de son observation. Elle n’est guère probante et acceptable que lorsque l’OVNI s’est posé a terre et à l’arrêt. Car, dans le ciel, ce genre de boule peut-être confondu avec beaucoup d’autres phénomènes, atmosphériques, astronomiques ou météorologiques. Cette possibilité de confusion est même utilisée parfois, par nos étranges visiteurs pour camoufler leurs appareils !


En effet, on a vu, plusieurs fois, des OVNI dissimulés (nous aurons l’occasion d’en reparler) dans une sorte de nuage blanc et vaporeux qui pouvait être pris pour un nuage ordinaire, alors qu’il était artificiel. Nous en citerons plusieurs cas.
Certaines observations font également état de disques lumineux, sans épaisseur, d’autres parlent de clignotements, d’autres de changements subits de forme ou d’emplacement. En étudiant tout cela de près, on est conduit à penser que, dans certains cas, il ne s’agit pas réellement d’un objet matériel, mais seulement de projections lumineuses dans l’air, de phénomènes purement optiques. Exactement comme si, nous, nous projetions une image cinématographique ou une diapositive sur un écran de nuages blancs.
Seulement, pour projeter cette image, il nous faudrait un appareil de projection, et très puissant ; alors qu’ici, il ne semble pas y avoir d’appareil [Mais que faisait Jean-Michel Jarre à l’époque ??!!]. Alors, on est conduit à penser à des matérialisations.

Justement, il s’est produit une matérialisation curieuse, il y a une 15aine d’années [29 plus 15 égale 44 ; donc une 40 aine d’années maintenant], à bord d’un avion russe, le TU-104, qui revenait vers Moscou. Ce phénomène est rapporté dans le « Bulletin polonais d’information », n°2, de l’année 1959. L’avion volait normalement, quand les voyageurs ont remarqué une lueur terne qui se formait dans l’air de la cabine, près de l’accès au poste de pilotage. Cette lueur se précisa, devint plus dense, plus solide et pris bientôt la forme d’un disque lumineux d’environ 50 cm de diamètre. Les passagers effrayés, crurent à un début d’incendie et appelèrent à l’aide. Lorsqu’un mécanicien arriva avec un extincteur, l’objet avait disparu. Les choses étaient à peine revenues à la normale et le mécanicien reparti dans le poste de pilotage, que l’objet étrange reparut de nouveau. Mais cette fois, il se promenait dans l’habitacle, allant de hublot en hublot et frôlant les passagers qui n’osaient faire un geste [Comme dans « Cube² : Hypercube »]. Quand il se fut bien promené ainsi, il retourna à sa place d’origine, près de la cabine de pilotage, où il se dématérialisa de nouveau, en suivant le processus inverse de sa matérialisation ? A l’arrivée à Moscou, les autorités, mises au courant, recommandèrent à tous le plus grand silence sur ce phénomène. . .

Mais on est en droit de penser que c’était un procédé de matérialisation du genre fantômal (dont les métapsychistes ont quelques notions) provoqué probablement par des être venus d’ailleurs et qui en connaissent plus long que nous sur toutes ces questions. Cela peut consister à composer, pour quelques minutes, à partir de la matière ambiante, un appareil inconnu, des images, des pensées, ou toute autre espèce de renseignements utilisables. Puis à décomposer ensuite cet appareil et à rendre ses atomes à l’air ambiant, quand il ne sert plus à rien. Peut-être ont-ils la possibilité de transformer la matière instantanément. Chose que nous ne savons absolument pas faire et dont nous ne commençons seulement à soupçonner la possibilité depuis que nous connaissons la désintégration de l’atome qui rend accessible la transmutation des métaux, c’est-à-dire de pouvoir transformer le fer en cuivre, le plomb en or, etc.

Venons-en maintenant à une autre question importante : les OVNI contiennent-ils des pilotes ? A cette question, on peut faire une double réponse, en apparence contradictoire ; parfois oui, parfois non ! Car si nous examinons les différents rapports d’atterrissages établis ces dernières années (disons depuis un quart de siècle [25+29=54 ; donc, aujourd’hui, plus d’un demi siècle.]) soit par les gendarmeries, soit par des témoins objectifs, nous constatons que dans certains cas, on a pu apercevoir des êtres vivants, à forme humaine. Ils se trouvaient à bord des engins ayant atterri et même , plus rarement, ayant quitté l’engin pour circuler alentour, sur le sol.

A- J’ai eu l’occasion récemment, de faire une enquête, avec un de mes amis, pour la revue « Lumières dans la nuit », sur un de ces atterrissages. C’est un jeune homme de Sens, Guy L., qui en a été témoin et nous l’a raconté, fin septembre 1968, aux environs de Troyes, du côté de Machy, dans l’Aube. Vers 3 heures du matin, dans la nuit du dimanche au lundi, Guy L. fut le témoin d’un spectacle qu’il qualifie d’effrayant et qu’il n’est pas près d’oublier. Près de Roncenay, à 10 km au sud de Troyes, il revenait à pied avec un camarade, par une petite route, ayant abandonné leur cyclomoteur en panne d’essence. Ils avaient d’abord vu comme une grosse étoile rouge qui se déplaçait très vite et assez horizontalement. Puis, à un détour de la route, ils virent soudain un objet de couleur rouge orangée, lumineuse dans la nuit, reposant sur des sortes de pieds, à 1,50 m du sol environ. Il avait une forme ronde, avec tout autour une sorte de halo lumineux et sur sa tranche un anneau de lumière, produit par de nombreux hublots éclairés mais non éblouissants. La partie supérieure n’était pas éclairée ; arrondie en forme de coupole, on l’apercevait quand-même un peu.

La hauteur lui a paru celle d’une voiture de tourisme et la longueur, à peu près celle d’un autocar. . . Les témoins ajoutent ceci : « Nous nous sommes cachés dans un fossé, abrité de leur vue par un talus herbeux, quand nous avons vu qu’il y avait des personnages qui circulaient autour de l’engin. Ils évoluaient assez vite, avec des sources lumineuses très fortes dans leurs mains. Ils couraient mais à une certaine distance du sol, 50 ou 60 cm, donc sans toucher la terre. L’un d’eux s’est approché de nous à quelques mètres et on a vu ses mains qui semblaient n’avoir que 2 doigts, comme des pinces. Ces êtres étaient petits, à peine plus d’un mètre sûrement. Quand nous avons pensé qu’ils avaient pu détecter notre présence, nous sommes partis en courant, pris de peur et on ne s’est pas retourné, si bien qu’on n’a pas su quand l’engin était reparti. . .»
(Ce rapport a paru dans la revue « Lumières dans la nuit », n° d’octobre 73).

On peut se permettre les remarques suivantes : une main d’homme, vue horizontalement par la tranche et les doigts collés ensemble peut aussi donner l’impression d’une pince. D’autre part, peut-être avaient-ils des gants noirs, des moufles qui auraient donné cette impression ? Enfin, le fait qu’ils couraient sans toucher la terre, implique la suppression de la pesanteur ; peut-être les rayons qui s’échappaient de leurs mains, servaient-ils justement à supprimer cette apesanteur ? De toute façon, rien n’est impossible dans ce domaine, puisqu’à bord de la planète Terre, nous faisons aussi des recherches sur l’antigravitation et que nous savons que lorsque nos astronautes marchent sur la Lune, leur poids est considérablement diminué !

B- On se souvient que M. Masse, agriculteur et maire du village de Valensole, non loin de Manosque, lors de son observation de juillet 1965, dans son champ de lavande, a vu 2 petits êtres descendus de leur OVNI. Lorsqu’ils ont aperçu ce cultivateur, ils se sont empressés de remonter à bord, après l’avoir momentanément paralysé avec un rayon de nature inconnue. Sa description de ces petits êtres humanoïdes coïncide avec beaucoup d’autres du même type. Là aussi, ils étaient de petites taille par rapport à l’hommes.

C- Dans d’autres cas, ils sont plus grands et plus forts que l’homme moyen. Ils ont donc des aspects très variables. Dans les observations de M . Blondeau ou celles d’Adamski, on pourrait croire, même, qu’il s’agit d’hommes comme vous. Adamski affirmait avoir rencontré, près d’un OVNI posé à terre, un être qui ne parlait pas l’anglais comme lui, il avait donc simplement échangé des signes et cet homme lui avait fait comprendre qu’il venait de la planète Vénus, il avait de grand cheveux blonds descendant sur les épaules et ressemblant absolument à un homme de grande taille. Mais c’est l’exception et d’ailleurs les affirmations d’Adamski sont tenues pour suspectes aujourd’hui par de nombreux auteurs [Oui, là, à mon avis, ce M. Adamski avait trop bu !].
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Beaucoup d’autres observations, au contraire, nous font voir des êtres enfouis dans des scaphandres bien clos. Ce qui laisse supposer qu’ils ne peuvent pas respirer l’air de notre atmosphère terrestre ; exactement comme nous sommes obligés de la faire quand nous allons sur la Lune, il nous faut maintenir dans le scaphandre une pression d’environ 1 kg par cm carré, pour conserver les conditions nécessaires à la vie humaine.

Certains même, parmi ces étranges visiteurs, comme ce géant rencontré aux USA dans les montagnes, laissent échapper derrière eux une odeur infecte , comme s’ils rejetaient des gaz inconnus, provenant peut-être de leur respiration. . . On voit que, là aussi, ces phénomènes laissent un vaste champ libre aux suppositions ! Tout cela donne à penser que l’origine des OVNI, aussi bien que ceux qui les pilotent, est très diverse. Dans certains cas, il semble bien qu’il n’y ait aucun pilote et que l’engin volant est un objet téléguidé, ou autoguidé, sorte de robot qui se suffit à lui-même. Mais quand il y a des êtres, leurs apparences très variées conduisent à supposer qu’ils ne viennent pas tous du même endroit, qu’ils viennent de nombreuses planètes différentes, où les formes de vie et l’aspect des habitants sont variés. Certains se rapprochent beaucoup de nous, d’autres sont plus petits ou plus grands.
Toutefois, ils présentent, dans l’ensemble, une forme humaine, avec une tête, un tronc et 4 membres ; c’est pourquoi, on peut les appeler, pour le moment, des êtres humanoïdes.
Mad : R. von Jung

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IV- D’où viennent-ils ?

A cette question sur leur origine, très intéressante pour le chercheur, très préoccupante pour le profane, plusieurs réponses peuvent être fournies. Libre à vous de choisir entre elles, car jusqu’alors nous ne savons rien de certain, et nous ne pouvons avancer que des hypothèses de recherche. . .

A- Hypothèse 1

Prenons pour commencer celle qui satisfait le mieux la logique de l’esprit humain. C’est aussi la plus facile à comprendre : ils viennent d’autres planètes lointaines ! C’est très possible. En effet, l’astronomie nous apprend que l’univers est rempli de galaxies immenses qui, dans un espace sans limites, se fuient les unes les autres à des vitesses effrayantes. C’est, du moins, la théorie actuelle de l’Univers en expansion.
La Terre fait partie du système solaire, et notre système solaire fait partie d’une de ces galaxies, la Voie Lactée. Mais il y en a des milliers d’autres, à de telles distances que leur lumière nous est imperceptible ou même que leur lumière ne nous est jamais parvenue [Et celui qui a émis cette hypothèse en 1er, savez-vous qui c’est ? C’est Edgar Allan Poe lui-même !]. Dans cet univers infini, il y a des milliards d’étoiles dont 14% sont des soleils comme le nôtre, du type spectral G2 plus ou moins que lui. Autour de ces derniers et des étoiles de type K et M, dont la vitesse de rotation est assez lente, il y a presque toujours des planètes qui gravitent. Comme dans l’atome, les électrons gravitent autour du noyau. Ce qui prouve que, comme le pensait déjà Pascal, l’infiniment grand se retrouve dans l’infiniment petit et inversement. Donc, à supposer qu’une seule planète soit habitable dans chaque système solaire, cela nous fait déjà des milliards de planètes habitables et sans doute des centaines de millions qui sont effectivement habitées.

On voit que l’éventail de recherche est vaste ! Que parmi ces millions de planètes, certaines soient d’une évolution plus en retard que la nôtre, c’est probable, mais que beaucoup d’autres soient, au contraire, d’une civilisation plus avancée que la nôtre, c’est probable également.
Dans ce dernier cas, ces gens-là possèderaient des appareils absolument inconnus chez nous et des moyens de transport beaucoup plus perfectionnés que les nôtres. Ils voyageraient facilement d’une galaxie à une autre, comme nous, nous allons de Paris à Marseille. Et ils doivent s’amuser de nos moyens de transport désuets, de nos fusées très lourdes et très primitives qui sont obligées d’emporter des tonnes de carburant pour avancer à des vitesses ridiculement faibles ! Alors que leurs engins sont légers, maniables, silencieux, indépendants de la gravitation et d’une rapidité inconcevable pour nous . Voilà ce qu’il est possible de conclure en ce qui concerne nos OVNI.

B- Hypothèse 2

Cependant, il existe une 2ème hypothèse qui n’est pas à rejeter, a priori, parce qu’elle permet d’expliquer mieux certains faits observés. Cette explication-là est beaucoup plus subtile et d’une compréhension bien plus difficile que la 1ère. Je vais essayer de l’exposer d’une façon claire, mais en m’excusant d’avance de sa complexité qui atteint les limites de nos faibles intelligences humaines [merci…]. Elle fait entrer en ligne les jeux de l’espace et du temps et avec elle, on aborde à l’univers de la 4ème dimension, ce qui est aux frontières de notre compréhension.

Remarquons tout d’abord que, dans la vie courante, nous confondons parfois le temps avec l’espace à parcourir : ainsi, nous disons aussi bien : « La gare est à 1 km d’ici, ou la gare est à 1 quart d’heure d’ici ! ». dans certaines circonstances, le temps peut donc être confondu avec l’espace. Qu’est-ce qu’une heure de nos pendules, sinon la 24ème partie d’une journée et une journée c’est l’espace parcouru par la rotation de notre globe sur lui-même ou encore la 365ème partie de son orbite annuelle autour du soleil.
Tout cela, c’est l’espace parcouru. C’est encore bien plus vrai quand nous nous éloignons dans le cosmos. Car les km étant bien trop petits pour mesurer les distances entre les étoiles, on les mesure en années-lumière, soit la distance parcourue en 1 année par un rayon lumineux, distance fabuleuse évidemment. Là encore, les données temps-espace se confondent. Or, de même qu’on peut, sur une distance, la parcourir d’abord dans un sens, puis en revenant en arrière, dans l’autre sens, il devrait être possible pour le temps, d’opérer de même ; d’aller dans un sens, en direction du futur, puis en arrière dans le sens du passé. [Un peu trop simple comme explication… Ceci n’explique pas cela !] Remonter le temps, en quelque sorte. Pratiquement, on n’a pas encore pu le faire ; la machine à remonter le temps n’est pas encore inventée chez nous ; mais qui dit que d’autres ne l’ont pas inventée, ailleurs ? Car théoriquement, ce n’est pas impossible, si l’on se place sur le plan de l’univers à 4 dimensions. Le grand mathématicien Henri Poincaré fut l’un des 1ers à considérer que l’existence d’un univers de la 4ème dimension était non seulement possible, mais même probable. Elle est presque prouvée de nos jours, et certaines questions complexes de la haute mathématique ne peuvent se résoudre qu’en faisant appel à la 4ème dimension. Mais malheureusement, nous ne pouvons prendre contact avec cet univers qui est peut-être autour de nous, à l’aide de nos 5 sens habituels qui ne sont adaptés qu’à notre monde à 3 dimensions. [Là encore, voir le film « Cube² : Hypercube »]

Aux limites de l’impossible, prenons un exemple qui, s’il est invraisemblable, nous aidera cependant à mieux comprendre : supposons un enfant qui serait né dans un train en marche et qui aurait été élevé dans ce train qui ne s’arrêterait jamais. Quelle aurait été l’opinion de cet enfant sur le paysage ? Il aurait cru que le paysage était une succession d’images mobiles qui s’approchent au devant du train qui passe devant la fenêtre et qui s’enfuit derrière. Comme les images de l’avenir, de présent et du passé. Or, s’il avait pu arrêter le train une minute, il aurait constaté son erreur, son illusion. C’est-à-dire que c’était lui qui passait et que le paysage est immobile. Cette illusion est peut-être la même pour nous ; parce que nous sommes dans un organisme vivant qui vieillit, qui passe, qui poursuit sans arrêt sa course vers son terme, nous croyons que c’est le temps qui passe devant nous. Mais si nous pouvions arrêter quelques instants notre corps dans sa course, dans son évolution physique, nous verrions que ce qui passait ne passe plus, que nous sommes devant une sorte d’éternel présent.

C’est dans cette optique qu’on peut admettre que ce qu’on appelle la passé se trouve sur le même plan que nous et qu’on pourrait le rencontrer même dans la vie courante. En voici un exemple rapporté dans la revue anglaise « Coronet » (n° d’avril 1943) : Au début de la guerre de 1940, le lieutenant aviateur Grayson effectuait une patrouille de nuit, près de Douvres, lorsqu’il aperçut un avion à la silhouette inconnue. Il le prit en chasse sans pouvoir le rattraper. Finalement, il le vit plus nettement dans un rayon de lune. C’était un biplan (on n’en faisait plus depuis longtemps à cette époque), ses ailes portaient la croix de fer, symbole de l’ancienne Allemagne impériale. Sur le fuselage était peint le cirque volant, insigne du baron allemand et aviateur, Manfred von Richtofen, combattant de la guerre 1914 et qui fut abattu en 1918. . . Là encore, on entrait dans une tranche du passé ; un avion de la guerre 1914-18 surgissait aux yeux d’un aviateur de la guerre 1940. Personne n’y a rien compris. Peut-être y avait-il eu, là aussi, une sorte de contraction de l’espace-temps ?

Si l’on se place au point de vue de l’univers à 4 dimensions, cela permet de comprendre pourquoi les OVNI échappent parfois instantanément à la vue des témoins. Nous avons vu des cas où ils s’éloignent de nous normalement, en fuyant dans l’espace ; mais parfois aussi des cas (comme celui de Valensole) où ils disparaissent brutalement en 2 ou 3 secondes, comme s’ils s’étaient évanouis ou dématérialisés. Cela suppose que, ou bien ils nous suggestionnent en nous faisant croire qu’on ne voit plus rien, ou bien ils sont capables de disparaître dans une autre dimension que l’espace. Cette autre dimension serait le temps. S’ils rentrent instantanément dans le futur, nous ne pouvons plus les voir. Comme leurs engins volants sont bien plus avancés que les nôtres, ce sont des gens plus évolués que nous dans les techniques. De là, certains esprits subtils en ont déduit que ce sont des être venus de notre futur, ce qui est très compliqué à comprendre, je le reconnais volontiers. Car là, nous atteignons les limites de notre intelligence, bornée aux 3 dimensions de notre univers habituel.

Mais ces réflexions, qui sont d’ailleurs en plein accord avec la pensée du grand mathématicien Einstein, ont conduit le capitaine français Clérouin à penser que les OVNI pourraient sortir, non pas de l’espace, comme on le croit habituellement, mais du temps. Einstein avait, en effet, été amené par ses calculs, à penser que si un objet matériel venait à se déplacer en dépassant la vitesse de la lumière (300000 km à la seconde) il franchirait en somme le mur du temps et entrerait dans l’univers de la 4ème dimension. C’est là une hypothèse hardie, mais qui est admise également, je crois, par Aimé Michel, le grand spécialiste de la question OVNI en France.
Mad : R. von Jung

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V- Que viennent-ils faire parmi nous ?

Viennent-ils seulement nous observer par curiosité ? C’est ce que pensent beaucoup d’esprits réfléchis et qui ne voient pas d’autres explications . Ainsi le général Chassin, général de division aérienne, émettait l’opinion que ce sont « des escadrilles de surveillance des peuples arriérés ». Ces peuples arriérés, c’est nous, bien entendu ! Car il faut bien convenir que, sur notre Terre, nous ne sommes pas bien civilisés : les 2 tiers de l’humanité souffrent de la famine ; des centaines de millions de personnes ne savent ni lire ni écrire, surtout en Afrique et en Asie. Il existe encore, au centre de l’Afrique, en Australie, en Amazonie, des tribus qui vivent à l âge de la pierre taillée [Et alors ?! Ils sont sûrement très heureux ainsi !]. Enfin, chez nous , les Blancs, qui prétendons être plus évolués, nous sommes encore à régler nos conflits et nos querelles par des guerres barbares et cruelles [Eh voilà !]. En tout cas, nos visiteurs nous prennent-ils pour des bêtes curieuses ? C’est possible, car ils ne paraissent pas pressés de prendre contact avec nous. Ils ont plutôt tendance à nous fuir ; et s’ils atterrissent, c’est toujours dans des endroits déserts ou peu fréquentés.

Une autre hypothèse qui, d’ailleurs, ne supprime pas la précédente, c’est qu’ils viendraient se ravitailler, en cours de voyage, en puisant une certaine forme d’énergie que nous ne connaissons pas. En effet, beaucoup d’observateurs des faits OVNI (notamment F. Lagarde) ont remarqué que presque tous les atterrissages ont lieu près des failles géologiques terrestres ; c’est-à-dire d’endroits où se trouve une cassure souterraine entre les différentes couches du sous-sol, ce qu’il est facile de vérifier avec une carte géologique. Par ces failles, peut-être qu’une force, une énergie terrestre, inconnue de nous, s’échappe, mais qu’ils savent la capter et l’utiliser pour leurs appareils. Ce n’est qu’une simple hypothèse de recherche, mais elle explique la remarque sur les failles, en attendant mieux.

Encore une autre supposition, fondée sur plusieurs observations : ils pourraient venir prélever, sur la Terre, certaines plantes, certains minéraux, certains animaux, certains hommes dont ils ont besoin chez eux ! Des plantes ? C’est assez probable ; rappelons-nous le cas de la lavande prélevée dans le champs de M. Massé, le maire de Valensole ; et il y en a d’autres exemples. Des minéraux ? On n’a pas d’exemples précis à ce sujet. Des animaux ? Oui, on a cité un cas, au Brésil, où dans une ferme, il avait été enlevé 17 poulets, 2 veaux et encore 1 ou 2 autres bêtes. Ce cas est d’autant plus intéressant qu’il laisse supposer que sur une autre planète lointaine (non pas de notre système solaire), les mêmes conditions de vie que sur Terre se trouvent réunies : même pression atmosphérique, même composition de l’air respirable. Car s’ils désiraient emmener ces animaux pour les acclimater chez eux, il est bien évident qu’on ne va pas les équiper d’un scaphandre, et qu’ils doivent pouvoir trouver des conditions de vie presque semblables.

Des personnes ? On en a beaucoup d’exemples également, et les cas d’enlèvements (dont la police ne peut pas s’occuper, car ils ont lieu en hauteur [Et la police montée, alors ??!] !) sont assez fréquents. Nous n’en citerons que quelques-uns, parmi les plus connus : en l’année 1850, aux Etats-Unis, des habitants de la côte Est, près d’Easton-Beach, en Rhode-Island, aperçurent un jour un navire, apparemment sans direction, qui venait s’échouer sur leur rivage. Les voiles étaient déployées, et bien que sans direction, non gouverné, il s’échoua sur la rive sans dommage. C’était le Seabird, dont le capitaine était John Haxham et qui venait du Honduras. Pleins de curiosité, les assistants montèrent à bord, où ils ne trouvèrent personne, pas une âme ; seul un petit chien qui était tranquillement assis sur le pont. Cependant, le café bouillait sur les fourneaux, le déjeuner de l’équipage était prêt. Les livres de bord étaient à jour, ainsi que les instruments de navigation. Tout, à bord, était en parfait état, et cependant, nulle trace de son équipage, nulle lettre d’explication. Comment avaient-ils pu tous disparaître ainsi par temps calme et sans laisser nulle trace ? Mystère qui s’ajoute à celui de la Marie-Céleste et de tant d’autres du même genre ; car plusieurs fois par siècle, des bateaux sont ainsi retrouvés vides de leurs occupants.

En 1964, un bateau de guerre des USA reçut l’ordre de retrouver un petit voilier de plaisance qui ne donnait plus de ses nouvelles et qu’on ne pouvait plus repérer. En se rendant sur les lieux de sa route probable, les marins du vaisseau virent dans le ciel un gros disque lumineux, très brillant, et parfois ovale, selon la perspective. Peu après, le bateau de plaisance fut retrouvé, en parfait état, mais complètement vide de ses occupants. Les canots de sauvetage n’avaient pas bougé de leur place et il n’y avait pas eu de tempête ni de danger quelconque. Il ne pouvait donc s’agir que d’un enlèvement ou d’un suicide collectif (mais dans ce dernier cas, on aurait retrouvé des cadavres ou des lettres d’explication !). L’endroit de l’océan le plus connu pour ce genre de phénomènes a été surnommé le Triangle de la mort [Appelé aussi Triangle des Bermudes]. C’est dans l’Atlantique, une immense surface, approximativement triangulaire, située au sud et à l’est des îles Bermudes.

En Angleterre au 19ème siècle, un jeune garçon de 12 ans environ, fut enlevé dans des circonstances curieuses. Dans une cour d’auberge, la nuit, il y avait de la neige. Ses parents l’avaient envoyé, avec un seau, pour tirer de l’eau au puits. Il sortit et, tout à coup, on l’entendit appeler au secours ; on se précipita. Sa voix venait d’en haut, dans les airs, au-dessus de la cour. On ne pouvait rien voir, à cause de la nuit. Ses appels devenaient de plus en plus lointains ; il montait, il avait été enlevé. On n’a jamais su par qui, ni comment ; on ne l’a jamais revu. Il n’existait, à cette époque-là ni ballons, ni avions, ni dirigeables d’aucune sorte, et les gens n’ont entendu aucun bruit, en dehors des appels au secours. Parmi les oiseaux, seul un aigle aurait été assez fort pour enlever un enfant de cet âge-là ; or, les aigles ne vivent pas dans les régions de plaine et ils ne sortent pas la nuit, ce ne sont pas des rapaces nocturnes. Le mystère subsiste, et 50 ans après, les prêtres de la paroisse faisaient encore des prières pour lui, en espérant qu’il n’était pas mort.


Pendant la guerre 1914-1918, des soldats néo-zélandais faisant partie de l’armée britannique, se battaient contre les Turcs, en Orient, dans les Dardanelles. Un fait curieux s’est passé dans la journée du 28 août 1915, alors que le ciel était bleu et calme. Les débris d’un détachement, une 15aine d’hommes, montaient en ligne, en suivant le fond d’un chemin creux et encaissé. Dans le ciel, 5 petits nuages blancs arrivèrent, ayant la forme d’une cosse de petit pois. L’un d’entre eux se détacha, descendit et vint se poser à terre, juste dans ce chemin, devant les soldats qui montaient.
D’après les témoins, des sentinelles placées sur les collines avoisinantes (2 d’entre eux vivent encore, notamment le sapeur pompier Reichart, matricule 4165), ce nuage avait un aspect bizarre, il brillait comme de la soie et paraissait artificiel. Toujours est-il qu’en avançant, les soldats entrèrent dans ce nuage. On ne les revit jamais. Car quelques instants plus tard, ce nuage s’éleva (il servait probablement à camoufler un engin caché dans son intérieur), alla rejoindre les autres dans le ciel et tous partirent dans la direction nord-est. L’armée britannique porta les hommes comme disparus à l’ennemi, ou prisonniers.
Mais quand, la guerre finie, elle présenta sa liste aux Turcs, pour réclamer ses prisonniers, ceux-ci répondirent qu’ils n’avaient jamais capturé ces hommes-là et qu’ils ignoraient tout de leur disparition. Prisonniers, ils l’étaient peut-être, mais probablement sue une autre planète.

Un enlèvement en automobile, c’est plus rare ! Et cependant, le fait s’est passé en Argentine, le 3 juillet 1970, et l’aventure concerne des Français en vacances. Des jeunes mariés, Michel et Françoise Vidal, circulaient avec une 403 sur la route de Chascomus à Maïpu. C’était la nuit. Tout-à-coup, ils virent devant eux se former comme une masse de brouillard jaunâtre ; la voiture freina et ralentit, mais elle se trouva bientôt enveloppée par cette masse visqueuse et dans une obscurité totale. A ce moment, les occupants se sont évanouis ou ont été endormis. De toute façon, ils ne se souviennent de rien. A leur réveil, toujours dans la voiture, il faisait grand jour. Ils constatèrent que la peinture extérieure était enlevée et brûlée comme si on avait passé la carrosserie au chalumeau. Enfin, ayant demandé leur chemin à un paysan, car ils ne se trouvaient plus sur la même route que la nuit, ils apprirent avec stupeur qu’ils étaient non loin de Mexico. Ils avaient donc franchi des milliers de km sans savoir comment et se trouvaient maintenant au Mexique ! Le consul de France les prit tout d’abord pour des fous, ne pouvant croire une histoire aussi invraisemblable. Mais il les fit cependant rapatrier, et on garda la voiture, sous scellés, comme témoin de cet enlèvement incompréhensible.

Enfin, au Brésil cette fois (l’Amérique du Sud est extrêmement fréquentée par les OVNI), un brave homme, un paysan de Duas Pontas, village situé à 30 km de Diamautina, fut enlevé lui aussi. Cet homme, qui se nommait Rivalino Maffra, avait voulu s’approcher pour voir de près 2 boules bizarres, d’aspect métallique, posées à terre et qui l’intriguaient. Son fils, d’une 15aine d’années, qui a été le témoin des évènements, dit que ces boules se transformèrent soudain en violent tourbillon, soulevant une poussière qui cachait toutes choses. Quand cette poussière se dissipa, il ne restait plus rien, ni les boules, ni le tourbillon, ni l’homme. Cet enfant n’a plus jamais revu son père, dont on n’a jamais retrouvé les traces.
Aux Etats-Unis, de semblables disparitions ne sont pas très rares non plus. C’est ainsi qu’en Floride, on signalait, ces années dernières, la disparition d’un ingénieur de 28 ans nommé Tom Brooke, et de toute sa famille, en cours de route également. Leur voiture, une Studebaker, fut retrouvée, vide de ses occupants au bord d’une petite route de campagne, phares allumés et portières grandes ouvertes. Le sac de Mme Brooke était resté sur une des banquettes, et contenait une forte somme, qu’on n’avait pas prise. La trace des pas de la famille se voyait jusque dans un pré voisin et elles s’arrêtaient à l’endroit où on voyait d’autres empreintes, celles de pieds d’atterrissage d’un OVNI. Depuis, on n’a plus jamais revu ces 3 personnes, les parents et leur fils.

Ce n’est là que quelques exemples typiques, pris parmi des 10aines d’autres. Ils permettent de centrer le problème et d’en tirer des déductions, mais pas encore des conclusions. Car si on a constaté ce qui se passe, on est encore à se demander pourquoi cela se passe ainsi ; et d’ailleurs pas toujours de la même façon !
Mais dès maintenant, on peut réfléchir à ces étranges enlèvements et se poser des questions : Dans quel but vient-on ainsi « pêcher » des hommes et des femmes sur notre planète ? Ferait-on l’élevage d’hommes sur d’autres planètes ? Ferait-on des croisements de races humaines ou humanoïdes ? Serions-nous le « bétail de quelqu’un », comme le supposait naguère un philosophe anglais [Qui ?]? Mais, s’il en est ainsi, cela supposerait qu’on nous exploite [ça, de toute façon, c’est déjà fait, et pas que par les ET !!!], à quelles fins ? Dans ce cas-là, nous ne connaîtrions pas nos éleveurs ! Par contre cela expliquerait que ces voyageurs de l’au-delà ne daignent pas prendre contact avec nous, pas plus que nous ne désirons prendre contact avec la vache ou la poule de notre élevage campagnard. [La France « d’en bas » !]
Tout cela reste bien mystérieux !

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Effets produits par le passage des O.V.N.I.

Effets sur les moteurs : très souvent, mais pas toujours on signale que les passagers d’OVNI ont été la cause d’arrêts dans l’allumage des moteurs à explosion, ayant un allumage par bougies. Par contre, les moteurs diesel, sans bougies, ne sont pas incommodés.
Sur les courants électriques : très souvent aussi, la proximité ou le passage des OVNI sont la cause de graves perturbations dans les secteurs de distribution d’électricité : extinction des lampes, des phares ; gigantesques pannes de secteurs, comme celle de New York, notamment. Et à l’aéroport de Sainte-Marie, aux Açores, le 9 juillet 1965, un « cigare volant » se trouvant à grande altitude fit stopper toutes les pendules électriques de la station et de la tour de contrôle.

Sur les personnes : on signale assez souvent aussi une influence fâcheuse sur les personnes qui ont approché un OVNI ; allant de la simple perte de mémoire, momentanée, à la paralysie plus ou moins prolongée. C’est ainsi que, dans le cas de Valensole, M. Massé, on s’en souvient, s’était senti bloqué et incapable de faire un mouvement jusqu’au départ de l’engin et qu’ensuite, il a dormi pendant plus d’un mois. Au point que sa femme était obligée de le réveiller pour le faire manger. Une véritable cure de sommeil... mais dont on ignore le procédé !
En France également, dans la forêt de Lond, près de Rouen, le 19 novembre 1960, M. Rémy Carbonnier, employé de la S.N.C.F., a vu un OVNI posé sur la voie ferrée, non loin de son passage à niveau, pendant la nuit. Il a voulu y aller voir de près, mais un rayon inconnu est sorti de l’engin et l’a complètement immobilisé jusqu’au départ de celui-ci. Le lendemain matin, il sortit avec son chien, nommé Belote, pour examiner les lieux. Il ne trouva aucune trace, mais son chien renifla le sol, puis s’enfuit en hurlant, comme saisi d’une violente terreur, au contact de quelque chose de jamais vu, de jamais senti et peut-être de dangereux. [Ou brûlé par de la radioactivité]

Au Brésil, le journal de Rio de Janeiro « A Nolte », dans son n° du 18 septembre 1962, rapporte, ainsi que d’autres journaux du même jour comment, quelques semaines auparavant, des OVNI ont atterri et emporté un total de 17 poulets, 2 veaux, et 6 cochons dans le district de Barcelos. Et puis aussi, dans la nuit du 16 septembre, un arbitre local, nommé Télémaco Xavier, qui fut aperçu, enlevé par des êtres descendus d’un OVNI, juste après un match de football ! [Pas contents du résultats, les aliens ?!!!]
En Espagne, un bijoutier de Séville, M. Vincente Osuana, rentrait chez lui, à son domicile de campagne, à Guillena, par la route, vers 22h. En passant sur un pont, il vit arriver vers lui un objet lumineux, de forme ovale, qui pouvait être à 100 m de haut environ. Il constata alors les conséquences suivantes :
1° Une étrange sensation de malaise, sans perte de connaissance.
2° Un vent fort et chaud.
3° L’arrêt du moteur de sa voiture.
4° Malaise généralisé et nervosité pendant les quelques jours suivants. Toutefois, , M. Osuana remarque qu’après le départ de l’OVNI, il se sentit un peu soulagé physiquement et que le moteur de sa voiture put démarrer à nouveau.

Effets sur les animaux : voici quelques cas révélés dans la presse, d’effets produits sur des animaux. En 1956, dans le désert d’Acatana, en République Argentine, ainsi que dans une région des Andes, où la rumeur publique situe l’atterrissage d’énormes OVNI, on a trouvé une grande quantité d’aigles et de condors morts. Mais, à mon avis, il n’y a pas nécessairement là un lien de cause à effet.
En Angleterre, au mois d’avril 1956, dans la région de Dorset—nous raconte la « Flying Saucer’s Review »—un certain nombre de personnes ont rapporté avoir vu un OVNI traverser le ciel, la nuit. Un de ces témoins, M. King, d’Hengisburg, sortit, à cause des violents aboiements de son chien, et il observa une vive lueur, suivie d’une traînée lumineuse qui se déplaçait à grande vitesse dans le ciel. D’après le docteur Allan Hynceck, vétérinaire, la plupart des animaux réagissent violemment au passage ou à la présence d’un OVNI, et cela serait dû au fait qu’ils seraient gênés, peut-être, par une fréquence d’ultra-sons émis par cet engin. Cependant, nous avons vu le chien du garde-barrière réagir le lendemain, l’objet étant parti, et seulement en flairant ses traces. Alors, dans ce cas, dit ce vétérinaire, les animaux reconnaissent peut-être ces objets comme étant un danger, par un mécanisme psychique héréditaire, analogue à celui qui leur permet de reconnaître un autre animal de proie comme dangereux. C’est ainsi qu’une souris d’élevage, même si elle n’a jamais vu de chat, fuira celui-ci à 1ère vue. Alors, si les OVNI font peur aux animaux, qui auraient des mécanismes héréditaires pour les redouter, cela prouve donc, puisque ces mécanismes mettent de nombreuses générations à se former, que les OVNI viennent depuis longtemps parmi nous [Et qu’ils sont dangereux !]. Comme voilà d’intéressantes recherches à faire dans la psychologie animale à ce sujet !

Effets sur le sol : on a remarqué très souvent, après les atterrissages, que la terre ou herbe qui couvre[nt] le sol sont brûlées et comme calcinées, sur un cercle plus ou moins grand, selon la largeur de l’engin. Cela peut servir, d’ailleurs, à calculer le diamètre de l’OVNI. Souvent ; il y a aussi des empreintes en creux, là où les tiges qui le supportent se sont appuyées. Souvent, ces trous sont carrés, de 10 à 30 cm de profondeur, ce qui fait penser à des pieds de métal. Une fois même, toute la terre avait été comme aspirée et retournée après le départ de l’OVNI.
Sur la nature, les arbres, l’air atmosphérique : dans l’air, on signale rarement que l’engin ait laissé soit une fumée, soit une odeur, soit une coloration quelconque [aujourd’hui, il me semble qu’on parle tout de même de radiations dans l’air et dans le sol]. Par contre, on a vu, plusieurs fois, des arbres de petite taille il est vrai, tordus ou même abattus sur le sol.
Autre remarque : en 1953, dans le Pas-de Calais, après le passage d’un OVNI qui avait frôlé les fils, les lignes électriques dégageaient une forte odeur de brûlé ou de combustion.

Le magnétisme et les moyens de détection : le fait que nous avons souvent signalé que les OVNI rayonnent presque toujours autour d’eux un champ magnétique intense a conduit des chercheurs à imaginer et à trouver des détecteurs qui signalent, par une sonnerie, le passage des engins. Il en existe plusieurs modèles, en général basés sur le fait que leur passage fait dévier l’aiguille aimantée d’une boussole, alors qu’elle est en position de repos. En déviant à droite ou à gauche de sa position de repos, elle vient provoquer un contact qui actionne une sonnerie, branchée sur un circuit à piles. C’est simple, mais il fallait y penser ! Bricoleurs, à vos pièces !
Mad : R. von Jung

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Message par Mad »

ET MAINTENANT LE MOT DE LA FIN. . .

Les Extra-Terrestres nous visitent : c’est un fait. Nous observons quelque peu leurs faits et gestes, mais nous ignorons leurs buts réels. De toute façon, il est probable qu’ils ne sont pas des « envahisseurs » car, s’ils voulaient détruire ou coloniser la Terre, il y a longtemps qu’ils l’auraient fait ! [Ici, il faudrait que l’on compare avec la mythologie X-Files.]
Certes il y a, parmi eux, des bons et des mauvais, semble-t-il (d’après ce que nous avons vu). Certains ayant une attitude amicale, alors que d’autres sont plutôt hostiles.
Il est, bien-sûr, ridicule et puéril de tirer sur eux, a priori, comme l’ont fait, il y a une 20aine d’années, les habitants d’un village bourguignon [Lequel ?]. S’ils peuvent s’abstraire de bien des servitudes de notre planète, éliminer la pesanteur, la résistance de l’air, ils se moquent aussi de nos vieilles pétoires et des balles qu’on peut tirer ! N’oublions pas que certaines observations ont permis de constater qu’ils ont aussi, très souvent, le pouvoir de lire, par télépathie, dans notre pensée, avant qu’elle soit exprimée. C’est sans doute ce qui leur donne la possibilité de parler immédiatement la langue du pays dans lequel ils se trouvent, possibilité qui nous semble également incompréhensible ! Dans ces conditions, gardons notre dignité et notre sang-froid, mais ne faisons pas les malins. Car, à côté d’eux, nous sommes encore des enfant…

FIN

Raoul FOIN
Mad : R. von Jung

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