Burger a écrit :Dans le même esprit, je vous livre mon classement des épisodes "les plus pénibles à revoir".
(...)
10)
How the Ghosts Stole Christmas (saison 6)
Camille m'a convaincu...
Ha ha ha! Désolée
Ceci dit, je n'aurais jamais cru voir arriver le jour ou quelqu'un d'autre verrait, comme moi, que cet épisode est bavard, agaçant et insultant envers la série et ses fans...
Burger a écrit :9) FPS (saison 7)
Du grand n'importe quoi !
Bien d'accord!
Burger a écrit :5)
Existence (saison

"THIS BABY WILL BE BOOORN !!!" Les supers soldiers sont partout, ils veulent le bébé de Scully (on sait pas pourquoi), et finalement ils le prennent pas (on sait pas pourquoi). Mais peu importe on a eu notre lot d'actions, de la (fausse) tension, Skinner a eu sa revanche, pour la crédibilité on repassera.
Tout à fait!
Burger a écrit :1) Providence (saison 9)
Une prophétie ou William serait le Messie des Aliens, les aliens seraient en fait Dieu lui-même. Des allusions religieuses à tout-va. Scully qui y croit sérieusement. Le summum de la connerie.
Exactement; c'est certainement le pire mytharc de toute la série! Cet épisode atteint des sommets de ridicule comme la série n’en avait jamais ne serait-ce que frôlé jusque là... même enfin énoncée sans détour, la vérité reste incompréhensible, et quant à ce que l’on comprend, c’est indigne d’X-files et invraisemblable au point d’en être grotesque. Cet épisode est tellement vide, il s’y passe si peu de choses, que l’on a l’impression qu’il finit sans avoir commencé et le dénouement incompréhensible et grand-guignolesque n’apporte rien et nous ramène même, au contraire, au point de départ...
Bref, globalement d'accord avec ta liste.
Et maintenant, je te propose la mienne, dans la catégorie "bonnes surprises", les épisodes agréables à revoir, que j'ai trouvés bonifiés avec le temps:
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Orison (saison 7): même si je continue à trouver qu’il a quelque chose qui ne fonctionne pas, je l’ai trouvé nettement meilleur en le revoyant que je ne l’avais trouvé la première fois, ce qui mérite d’être signalé. Tout son côté fantastique est de trop, mais il n’est finalement pas mauvais
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Chimera (saison 7): réflexion intéressante sur les apparences et les préjugés, avec ce qu’il faut de frissons, de fausses pistes et de critique sociale, bref, un épisode malin, qui vaut mieux que l’indifférence qu’il suscite habituellement
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Revelations (saison 3): le seul épisode fondé sur la religion et sur la foi de Scully qui ne soit pas ridicule ou blasphématoire, une réflexion intelligente sur ce qu’est la foi où Scully écoute son coeur sans douter ni se morfondre
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The Walk (saison 3): un peu comme Revelations avec la foi, c’est sympa de voir un épisode sur l’armée qui ne soit pas manichéen, puisque cette fois elle n’est pas présentée comme une mafia toute puissante
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Hungry (saison 7): l’un des décalés que je trouve géniaux. Le personnage de Rob est excellemment décrit et joué et tout voir de son point de vue apporte un éclairage passionnant et complètement nouveau à la dynamique habituelle des épisodes MOTW
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Tithonus (saison 6): même chose que pour Orison, sauf que là, il n’est pas seulement pas mauvais, il est carrément bon, et m’a fait totalement changer d’avis! Sombre et mystérieux mais chargé d’émotion et pas dénué d’humour, c’est une réflexion douce-amère touchante sur la vieillesse et la solitude à travers une confrontation passionnante entre deux personnages à la fois fascinés et rebutés l’un par l’autre
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Monday (saison 6): je ne pensais pas m’éclater autant en le revoyant, mais il est vraiment très bien écrit et joué, prenant, plein de détails vraiment malins, inexorable mais jamais répétitif, avec un drame humain qui nous touche et des personnages auxquels on s’attache
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Field Trip (saison 6): difficile de dire tout le bien que je pense de cet épisode qui est vraiment la meilleure exploration de la MSR que la série nous ait proposée, sur un scénario malin, déroutant et intrigant
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Darkness Falls (saison 1): une vraie leçon de X-files, et même de télé en général! Un classique absolu qui a tout pour lui : épouvante, paranoïa, tension, décor magnifique, musique atmosphérique qui prend aux tripes, une véritable décharge d’adrénaline à lui seul, que j’ai revu après 15 ans avec le même plaisir que la première fois!
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The Erlenmeyer Flask (saison 1): comme Darkness Falls, un grand classique inimitable : c’est le moment où tout bascule dans la série, la Vérité est enfin là, devant nos yeux, plus proche et surtout plus crédible qu’elle le sera jamais par la suite, mais échappe encore une fois à nos héros, dans une succession de scènes-choc hallucinées portées par une musique géniale...
Comme vous pouvez le voir, il y a surtout des épisodes des saisons 6 et 7, et c'est normal: elles m'avaient tellement déçue que j'ai décidé de les reprendre pour voir si mon avis changeait; et pour plusieurs épisodes, ça a été le cas, à mon grand plaisir!
Enfin, j'aurais pu évoquer aussi War of the Coprophages, Quagmire, Red Museum, Unrequited (si, si, je l'aime bien, celui-là), Redrum ou encore Rush, mais je les ai laissés de côté parce qu'ils n'ont pas vraiment été des surprises: je les avais bien aimés la première fois, mon avis n'a pas changé en les revoyant... et puis, bon, fallait faire un top 10, alors je n'ai pris que les plus significatifs.
A suivre: mon top 10 des déceptions/épisodes pénibles à revoir.
Vis ta vie comme un grand film d'aventures, prends-toi pour son héros et bouge au rythme de sa bande-son, ou tu peux mourir tout de suite...