[Critiques Presse]
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- LeMartien
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Re: [Critiques Presse]
c'est sur que c'est "logique" dans le sens où l epositif arrivant c'est normal qu'il soit là pour rassurer.
S'il n'y avait que du négatifce serait la meme chose, on aurait été blasé.
bref c'est tout à fait normal de réagir comme ça. Il faut pas non plus dire que lse critiques positives sont mensongères.
S'il n'y avait que du négatifce serait la meme chose, on aurait été blasé.
bref c'est tout à fait normal de réagir comme ça. Il faut pas non plus dire que lse critiques positives sont mensongères.
MULDER: Dear Diary: Today my heart leapt when Agent Scully suggested spontaneous human combustion
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Re: [Critiques Presse]
Moi si, mais comme le topic a été divisé en 2 maintenant cela n'est plus sur ce topic il est vrai.Burger a écrit : Je pense que tu comprends mal justement. Je ne sais pas de qui tu parles, mais en tout cas, dans ce topic, je n'ai pas vu quelqu'un remettre réellement en cause lesdites critiques...

Mais on s'en fout : à parti de demain soir on pourra débattre sur pièce

- FX
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Re: [Critiques Presse]
Elles ne sont pas accueillies comme le messie, mais puisqu'elles proviennent également de 'professionnels",il est bon de montrer qu'il n'y a pas de pensée unique et ce venant de critiques fans ou de néophytes.torrance 2.0 a écrit :Si je ne reviendrai pas sur le film, puisque mon avis est connu, je trouve cela particulièrement étrange la façon dont les auteurs des mauvaises critiques se sont faits traiter de tous les noms, et comment les critiques positives sont accueillies comme le Messie.
Donc, si je comprends bien, les critiques qui vont dans votre sens sont dignes de confiance, mais les autres sont des immondes cinéastes frustrés qui n'y connaissent rien et ne sont pas de vrais fans d'XF.
La vérité est ailleurs aurait dit CC...
Et non, elles ne sont pas plus dignes de confiance que d'autres mais elles apportent un autre point de vue alors qu'on nous a soumis les premières critiques comme seule et unique "vérité". Preuve s'il en est qu'il existe plusieurs lectures possibles.
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Re: [Critiques Presse]
Non, elles ne sont pas le messie, mais elles nous promettent une bonne soirée demain (pour quelques uns d'entre nous) et c'est plutôt sympa 

- FX
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Re: [Critiques Presse]
J'en mets une petite dernière que j'ai trouvée très intéressante et qui résume bien ma pensée. (avant de me dire d'attendre de voir le film avant de m'emballer...je l'ai vu, !)
La critique est plus longue, je n'affiche qu'une partie, le reste vous pourrez le lire sur http://reflectionsonfilmandtelevision.blogspot.com/
[spoiler]MOVIE REVIEW: The X-Files: I Want to Believe (2008)
Belief isn't easy to come by these days. But - despite most reviews - I still believe in The X-Files.
Perhaps the biggest problem with this new film (sub-titled I Want to Believe) arises not from the stars (or the production itself), but from ourselves, and -- specifically -- our expectations.
Based on the savage reviews proliferating on the web and in print, audiences and critics apparently desired a Wrath of Khan, when what they actually get is...The Search for Spock.
In other words, X-Files: I Want to Believe is a more intimate, cerebral adventure than it is a "big event" summer movie. There are virtually no optical special effects in this movie. I could detect no (or very little) CGI. There are few action sequences.
There is little violence of any kind, actually (I don't believe a single gun is fired...). Mulder and Scully never even carry fire-arms, as far as I can detect. And there are no explosions whatsoever.
All the fireworks, rather...are purely human; emotional. Accordingly, the climax is one that relies on the specific nuances of human interaction and relationships, not fights, chases, or gun-fire. The film's success hinges on such old--fashioned elements as atmosphere and mood. A wintry, oppressive location -- West Virginia -- is practically a supporting character here, and the build-up of real suspense is generated through effective use of solid film techniques such as cross-cutting. This is good work, beautifully photographed; it's merely out-of-step with the kind of movies being offered in our cineplexes today.
Honestly, I Want to Believe's greatest failing has nothing to do with what it is; but rather what it is not; what people apparently "wanted" to believe about the form it would take.[/spoiler]

La critique est plus longue, je n'affiche qu'une partie, le reste vous pourrez le lire sur http://reflectionsonfilmandtelevision.blogspot.com/
[spoiler]MOVIE REVIEW: The X-Files: I Want to Believe (2008)
Belief isn't easy to come by these days. But - despite most reviews - I still believe in The X-Files.
Perhaps the biggest problem with this new film (sub-titled I Want to Believe) arises not from the stars (or the production itself), but from ourselves, and -- specifically -- our expectations.
Based on the savage reviews proliferating on the web and in print, audiences and critics apparently desired a Wrath of Khan, when what they actually get is...The Search for Spock.
In other words, X-Files: I Want to Believe is a more intimate, cerebral adventure than it is a "big event" summer movie. There are virtually no optical special effects in this movie. I could detect no (or very little) CGI. There are few action sequences.
There is little violence of any kind, actually (I don't believe a single gun is fired...). Mulder and Scully never even carry fire-arms, as far as I can detect. And there are no explosions whatsoever.
All the fireworks, rather...are purely human; emotional. Accordingly, the climax is one that relies on the specific nuances of human interaction and relationships, not fights, chases, or gun-fire. The film's success hinges on such old--fashioned elements as atmosphere and mood. A wintry, oppressive location -- West Virginia -- is practically a supporting character here, and the build-up of real suspense is generated through effective use of solid film techniques such as cross-cutting. This is good work, beautifully photographed; it's merely out-of-step with the kind of movies being offered in our cineplexes today.
Honestly, I Want to Believe's greatest failing has nothing to do with what it is; but rather what it is not; what people apparently "wanted" to believe about the form it would take.[/spoiler]
calicalou a écrit :Comment tu es au taquet concernant les critiques![]()
Ouahhh impressionnée !!!
Ca fait du bien un peu de positif...

Dernière modification par FX le 29 juil. 2008, 11:58, modifié 1 fois.
- LeMartien
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Re: [Critiques Presse]
Critique de CHronic'art
Positive
4/5
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=11040
[spoiler]X-files regeneration
Réalisateur
Chris Carter
Interprètes
David Duchovny, Gillian Anderson, Amanda Peet
Origine
Etats-Unis
Durée
1h44
Date de sortie
30 juillet 2008
Ultime soubresaut d'une série exsangue, X-files regeneration (I want to believe en v.o.) n'a rien de cette conclusion majuscule que certains fantasmaient. Il s'agit moins ici de solder les comptes de la saga que d'en prendre le pouls. Mais pour goûter sa beauté hivernale, encore faut-il dépasser une intrigue dégénérée à base de mutants bicéphales, de Frankenstein des Carpates et de pythie pédophile. Ce n'est qu'une fois ces McGuffin ingurgités que poignent les enjeux véritables, entre remise en question et amours contrariées. Car aussi déceptif soit-il, X-files regeneration pose in fine la seule question qui compte, celle qui servit de fil rouge neuf ans durant et qui brûle les lèvres des aficionados depuis bientôt six : où en sont Mulder et Scully ?
Rien à faire ici des invasions et complots ronge-cerveau qui ont nourri les scénarii de la série jusqu'au délire schizoïde. De l'aveu même de Chris Carter, X-Files n'a jamais été qu'un soap, une romance sur fond de complot abscons, et à l'heure de fermer le ban, il n'a d'yeux que pour son duo. On l'avait laissé en cavale, enlacé sur un lit dans une position équivoque ; on le retrouve en couple fragile, lui inactif mais toujours toqué des ET, elle médecin légal en pleine crise de foi. Il y a quelque chose de touchant dans l'attention que Chris Carter porte à Mulder et Scully, comme s'il venait aux nouvelles, curieux de la tournure prise par leur idylle, inquiet, peut-être, pour son devenir. D'autant qu'entre ces deux-là, tout est différent mais rien n'a changé : même hiatus, mêmes disputes, même complémentarité. C'est finalement le mythe fondateur, leur intimité que le cinéaste décide de mettre à nu. Cette tension amoureuse qui intriguait tant qu'on les soupçonnait parfois de faire l'amour pendant la coupure pub.
Un contre-champ moins innocent qu'il n'y paraît. Sans verser dans le méta, X-files regeneration interroge le système de l'intérieur et notamment l'antienne placardée dans le bureau de Mulder : I want to believe. Comment justifier ce pacte de crédulité maintenant que le complot a été dénoncé, que les affaires non-classées le sont enfin ? L'intrigue évidée de Regeneration le démontre par l'absurde : de la légende, seuls résistent Mulder et Scully, icônes éternelles mais désormais creuses. Eux y croient mordicus, ravis de cet ultime revival, mais ils ne convainquent plus personne, pas même cet agent du FBI aux airs de X-fan incrédule. Seuls en scène, Mulder et Scully hantent la moindre parcelle de ce film-gigogne, jusqu'à douter de leurs propres personnages et pourchasser des mutants à leur image - deux têtes pour un seul corps : quelle meilleure synthèse ? Au bout, c'est pourtant la lumière qui vaincra, Chris Carter ouvrant la seule porte de sortie digne de ses figures sacrificielles : celle du repos. D'aucuns auraient sans doute préféré un finale opératique à cet OVNI d'opérette, un geste majestueux plutôt que kamikaze, mais comme chacun sait, la vérité est ailleurs.
Julien Abadie[/spoiler]
Positive
4/5
http://www.chronicart.com/cinema/chronique.php?id=11040
[spoiler]X-files regeneration
Réalisateur
Chris Carter
Interprètes
David Duchovny, Gillian Anderson, Amanda Peet
Origine
Etats-Unis
Durée
1h44
Date de sortie
30 juillet 2008
Ultime soubresaut d'une série exsangue, X-files regeneration (I want to believe en v.o.) n'a rien de cette conclusion majuscule que certains fantasmaient. Il s'agit moins ici de solder les comptes de la saga que d'en prendre le pouls. Mais pour goûter sa beauté hivernale, encore faut-il dépasser une intrigue dégénérée à base de mutants bicéphales, de Frankenstein des Carpates et de pythie pédophile. Ce n'est qu'une fois ces McGuffin ingurgités que poignent les enjeux véritables, entre remise en question et amours contrariées. Car aussi déceptif soit-il, X-files regeneration pose in fine la seule question qui compte, celle qui servit de fil rouge neuf ans durant et qui brûle les lèvres des aficionados depuis bientôt six : où en sont Mulder et Scully ?
Rien à faire ici des invasions et complots ronge-cerveau qui ont nourri les scénarii de la série jusqu'au délire schizoïde. De l'aveu même de Chris Carter, X-Files n'a jamais été qu'un soap, une romance sur fond de complot abscons, et à l'heure de fermer le ban, il n'a d'yeux que pour son duo. On l'avait laissé en cavale, enlacé sur un lit dans une position équivoque ; on le retrouve en couple fragile, lui inactif mais toujours toqué des ET, elle médecin légal en pleine crise de foi. Il y a quelque chose de touchant dans l'attention que Chris Carter porte à Mulder et Scully, comme s'il venait aux nouvelles, curieux de la tournure prise par leur idylle, inquiet, peut-être, pour son devenir. D'autant qu'entre ces deux-là, tout est différent mais rien n'a changé : même hiatus, mêmes disputes, même complémentarité. C'est finalement le mythe fondateur, leur intimité que le cinéaste décide de mettre à nu. Cette tension amoureuse qui intriguait tant qu'on les soupçonnait parfois de faire l'amour pendant la coupure pub.
Un contre-champ moins innocent qu'il n'y paraît. Sans verser dans le méta, X-files regeneration interroge le système de l'intérieur et notamment l'antienne placardée dans le bureau de Mulder : I want to believe. Comment justifier ce pacte de crédulité maintenant que le complot a été dénoncé, que les affaires non-classées le sont enfin ? L'intrigue évidée de Regeneration le démontre par l'absurde : de la légende, seuls résistent Mulder et Scully, icônes éternelles mais désormais creuses. Eux y croient mordicus, ravis de cet ultime revival, mais ils ne convainquent plus personne, pas même cet agent du FBI aux airs de X-fan incrédule. Seuls en scène, Mulder et Scully hantent la moindre parcelle de ce film-gigogne, jusqu'à douter de leurs propres personnages et pourchasser des mutants à leur image - deux têtes pour un seul corps : quelle meilleure synthèse ? Au bout, c'est pourtant la lumière qui vaincra, Chris Carter ouvrant la seule porte de sortie digne de ses figures sacrificielles : celle du repos. D'aucuns auraient sans doute préféré un finale opératique à cet OVNI d'opérette, un geste majestueux plutôt que kamikaze, mais comme chacun sait, la vérité est ailleurs.
Julien Abadie[/spoiler]
MULDER: Dear Diary: Today my heart leapt when Agent Scully suggested spontaneous human combustion
- Burger
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Re: [Critiques Presse]
Chronic' Art ! On passe à la plus grande presse, et ça commence bien, ouf ! 

- Guigui
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Re: [Critiques Presse]
Une autre bonne critique :
Les inrocks :
[spoiler]Que faire de plus ? C’est sans doute ce qu’a dû penser Chris Carter le 11 septembre 2001, alors même que sa série X-Files s’arrêtait après neuf ans de domination télévisuelle écrasante. Lui qui avait passé la décennie à prophétiser l’ère du complot généralisé était dépassé par la réalité, alors que des théories conspirationnistes, plus ou moins abjectes, se répandaient comme traînée de poudre. Depuis, celui que le critique Louis Skorecki appelle le “Hitchcock de la télé”, avait complètement disparu de la circulation, comme si les manigances de l’ère Bush l’avaient tenu à l’écart de la fiction : à quoi bon lorsque le JT est plus fort que vos scénarios ? Ce nouveau dossier X s’ouvre ainsi par un commentaire laconique, un des plus drôles et pertinents faits sur George W. Bush : alors que Mulder et Scully, rappelés à la rescousse par le FBI pour une affaire délicate, s’arrêtent, interloqués, devant le portrait du Président accroché sur une porte, le célèbre gimmick musical de la série s’enclenche. Ça ne dure pas plus de 5 secondes, et tout est dit : l’événement le plus étrange et inexplicable de tous est bien la double élection de cet homme à la présidence du pays. A l’inverse du premier film (X-files : Combattre le futur, 1998), Régénération choisit donc de délaisser la grande trame politico-conspirationniste au profit d’une simple histoire de monster of the week, banal épisode de la série étiré sur deux heures. Simple histoire ? Pour ne pas briser le suspense, disons simplement qu’il s’agit d’un des scénarios les plus bizarres vus récemment, une sorte de remake des Yeux sans visage (Georges Franju, 1960), avec un couple gay venu se marier aux Etats-Unis, un prêtre pédophile et voyant, et un docteur Frankenstein russe qui n’auraient pas juré dans un livre de SF bon marché du XIXe siècle – de la série au serial, il n’y a qu’un pas… C’est le grand talent de Chris Carter que de donner chair à cette histoire invraisemblable, par son sens de la mise en scène (notamment dans les scènes d’effroi) un sérieux (on n’est jamais dans la parodie Z) et une croyance en ses personnages que rien n’ébranle. La croyance, c’est précisément le grand sujet de Carter, ou plutôt l’écart entre croyance et désir de croire – le fameux I want to believe repris dans le titre original –, l’abîme qui sépare Mulder l’ésotérique et Scully la cartésienne et qui ne demande qu’à être comblé. Un motif récurrent (dans la série et le film) résume bien cette idée : la paroi de glace ou de verre, toujours sale, qui ne laisse transparaître que reflets altérés et visages monstrueux. Je veux voir.[/spoiler]
Les inrocks :
[spoiler]Que faire de plus ? C’est sans doute ce qu’a dû penser Chris Carter le 11 septembre 2001, alors même que sa série X-Files s’arrêtait après neuf ans de domination télévisuelle écrasante. Lui qui avait passé la décennie à prophétiser l’ère du complot généralisé était dépassé par la réalité, alors que des théories conspirationnistes, plus ou moins abjectes, se répandaient comme traînée de poudre. Depuis, celui que le critique Louis Skorecki appelle le “Hitchcock de la télé”, avait complètement disparu de la circulation, comme si les manigances de l’ère Bush l’avaient tenu à l’écart de la fiction : à quoi bon lorsque le JT est plus fort que vos scénarios ? Ce nouveau dossier X s’ouvre ainsi par un commentaire laconique, un des plus drôles et pertinents faits sur George W. Bush : alors que Mulder et Scully, rappelés à la rescousse par le FBI pour une affaire délicate, s’arrêtent, interloqués, devant le portrait du Président accroché sur une porte, le célèbre gimmick musical de la série s’enclenche. Ça ne dure pas plus de 5 secondes, et tout est dit : l’événement le plus étrange et inexplicable de tous est bien la double élection de cet homme à la présidence du pays. A l’inverse du premier film (X-files : Combattre le futur, 1998), Régénération choisit donc de délaisser la grande trame politico-conspirationniste au profit d’une simple histoire de monster of the week, banal épisode de la série étiré sur deux heures. Simple histoire ? Pour ne pas briser le suspense, disons simplement qu’il s’agit d’un des scénarios les plus bizarres vus récemment, une sorte de remake des Yeux sans visage (Georges Franju, 1960), avec un couple gay venu se marier aux Etats-Unis, un prêtre pédophile et voyant, et un docteur Frankenstein russe qui n’auraient pas juré dans un livre de SF bon marché du XIXe siècle – de la série au serial, il n’y a qu’un pas… C’est le grand talent de Chris Carter que de donner chair à cette histoire invraisemblable, par son sens de la mise en scène (notamment dans les scènes d’effroi) un sérieux (on n’est jamais dans la parodie Z) et une croyance en ses personnages que rien n’ébranle. La croyance, c’est précisément le grand sujet de Carter, ou plutôt l’écart entre croyance et désir de croire – le fameux I want to believe repris dans le titre original –, l’abîme qui sépare Mulder l’ésotérique et Scully la cartésienne et qui ne demande qu’à être comblé. Un motif récurrent (dans la série et le film) résume bien cette idée : la paroi de glace ou de verre, toujours sale, qui ne laisse transparaître que reflets altérés et visages monstrueux. Je veux voir.[/spoiler]
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Re: [Critiques Presse]
La critique du Monde : (malheureusement) très bonne à mon avis
http://www.lemonde.fr/cinema/article/20 ... _3476.html
http://www.lemonde.fr/cinema/article/20 ... _3476.html
Dernière modification par Clairette le 30 juil. 2008, 09:45, modifié 1 fois.
- MH
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Re: [Critiques Presse]
Coucou!!
Dans le journal de canal+ ce matin, ils ont montré la une des journaux avec beaucoup de Wall E en une sauf Le Figaro qui a mis XF2 en une !!
bye
MH
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bye
MH
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- fofolle
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Re: [Critiques Presse]
voici quelques critiques helvètes :
24 heures
http://cinema.24heures.ch/titre/X%20Fil ... eneration/
Critiques:
Intéressant (2 étoiles sur 4)
« Chris Carter, l’inventeur du concept X-Files, s’est déclaré enchanté du laps de temps écoulé depuis la fin de la série et l’écriture de ce deuxième film. Ces six années permettaient au scénariste-réalisateur de s’écarter de la mythologie de Scully et Mulder. Du coup, les extraterrestres sont évincés pour une thématique plus classique. Un prêtre pédophile à la tronche aussi inquiétante que le Hannibal du Silence des agneaux, offre au F.B.I. des visions qui permettent de débroussailler une scène de crime en série. Comme ces révélations sont paranormales, Mulder et Scully sont appelés à la rescousse. Jouant toujours à l’amour-haine, le couple maintient un suspense passable tout en tentant de concilier foi religieuse, science cartésienne et croyance surnaturelle. Gillian Anderson et David Duchovny mettent beaucoup de conviction pour ranimer la flamme. Pour le reste, un fort air de déjà vu... - (cle) »
24 heures
http://cinema.24heures.ch/titre/X%20Fil ... eneration/
Critiques:
Intéressant (2 étoiles sur 4)
« Chris Carter, l’inventeur du concept X-Files, s’est déclaré enchanté du laps de temps écoulé depuis la fin de la série et l’écriture de ce deuxième film. Ces six années permettaient au scénariste-réalisateur de s’écarter de la mythologie de Scully et Mulder. Du coup, les extraterrestres sont évincés pour une thématique plus classique. Un prêtre pédophile à la tronche aussi inquiétante que le Hannibal du Silence des agneaux, offre au F.B.I. des visions qui permettent de débroussailler une scène de crime en série. Comme ces révélations sont paranormales, Mulder et Scully sont appelés à la rescousse. Jouant toujours à l’amour-haine, le couple maintient un suspense passable tout en tentant de concilier foi religieuse, science cartésienne et croyance surnaturelle. Gillian Anderson et David Duchovny mettent beaucoup de conviction pour ranimer la flamme. Pour le reste, un fort air de déjà vu... - (cle) »
- fofolle
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Re: [Critiques Presse]
20 minutes
http://www.20min.ch/ro/sortir/cinema/story/20798506
0 étoile sur 4 (bon quand je vois qu'ils descendent également le dernier batman....)
La vérité doit être ailleurs
Deuxième adaptation sur grand écran de la série «X Files», le film de Chris Carter pousse à croire qu’il s’agit bien là de la dernière.
Mulder-Duchovny et Scully-Anderson peinent à convaincre.Info-Box
«X Files - Régénération», de Chris Carter.
Avec David Duchovny, Gillian Anderson et Amanda Peet.
Scully et Mulder sont de retour. Elle est médecin dans ce qui pourrait être un hôpital communiste d’après-guerre, et lui est en dépression. Les superagents d’antan sont blasés, malheureux et ressemblent à un vieux couple. Quand le FBI les contacte pour leur demander de l’aide dans une sombre histoire révélée par un prêtre pédophile médium, ils accourent (après avoir très bien simulé l’hésitation...). Très vite, ils se retrouvent au coeur d’un réseau de vols d’organes orchestré par de méchants Russes.
«X Files - Régénération», c’est comme un mauvais épisode de la série originale, en vraiment pire. Les dialogues sont interminables, l’intrigue complètement creuse, et pas le moindre ovni en vue (si ce n’est un portrait du président Bush). A croire que la vérité est définitivement ailleurs...
(win)
http://www.20min.ch/ro/sortir/cinema/story/20798506
0 étoile sur 4 (bon quand je vois qu'ils descendent également le dernier batman....)
La vérité doit être ailleurs
Deuxième adaptation sur grand écran de la série «X Files», le film de Chris Carter pousse à croire qu’il s’agit bien là de la dernière.
Mulder-Duchovny et Scully-Anderson peinent à convaincre.Info-Box
«X Files - Régénération», de Chris Carter.
Avec David Duchovny, Gillian Anderson et Amanda Peet.
Scully et Mulder sont de retour. Elle est médecin dans ce qui pourrait être un hôpital communiste d’après-guerre, et lui est en dépression. Les superagents d’antan sont blasés, malheureux et ressemblent à un vieux couple. Quand le FBI les contacte pour leur demander de l’aide dans une sombre histoire révélée par un prêtre pédophile médium, ils accourent (après avoir très bien simulé l’hésitation...). Très vite, ils se retrouvent au coeur d’un réseau de vols d’organes orchestré par de méchants Russes.
«X Files - Régénération», c’est comme un mauvais épisode de la série originale, en vraiment pire. Les dialogues sont interminables, l’intrigue complètement creuse, et pas le moindre ovni en vue (si ce n’est un portrait du président Bush). A croire que la vérité est définitivement ailleurs...
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Re: [Critiques Presse]
Le Matin
http://www.lematin.ch/fr/loisirs/cinema ... _34-207863
DéCEPTION
Y a-t-il un fan pour croire au retour de Scully et Mulder?
Image © Keystone
A+ A- Imprimer RSS Envoyer Recommander Réagir Si vous avez manqué le début
Duchovny contre Duchovny
David Duchovny abonné au classé X
Sur le web
Bande-annonce et projections du film «X-Files - Régénération»
Le site officiel du film «X-Files - Régénération»Cinq ans qu'on attendait leur retour: Dana Scully et Fox Mulder reprennent enfin du service, sous la direction de Chris Carter, leur père spirituel
Fred Ferrari - le 29 juillet 2008, 20h27
Le Matin
0 commentaire
Le prétexte pour faire sortir Mulder de sa tanière (et raser sa barbe) et Scully de l'hôpital où elle opère? Sauver une agente du FBI portée disparue. Seul indice: le témoignage d'un prêtre pédophile qui se prétend médium. Evidemment, Mulder y croit. Evidemment, Scully est sceptique. Evidemment, elle est ébranlée dans ses certitudes scientifiques, elle qui s'acharne à guérir un gamin atteint d'une maladie grave. Evidemment, Mulder ne peut prouver ses intuitions. La confrontation sans cesse renouvelée de la foi et de la science, quand chacune atteint ses limites, peut reprendre de plus belle.
Force est de constater cependant que l'ingrédient essentiel de la série originelle, le surnaturel, est aux abonnés absents. Malgré des yeux qui pleurent du sang, trois intuitions ne font pas de grands frissons. Les fans de la série se consoleront peut-être par la seule joie des retrouvailles; le spectateur lambda, lui, aura l'impression d'assister à un énième thriller du genre, vaguement mâtiné de «frankensteinisme» moderne. Bref, ne vous attendez pas à flirter avec les frontières du réel, sous peine de devoir chercher la vérité ailleurs...
The X-files - Regeneration (*= on essaie)
De Chris Carter. Avec David Duchovny, Gillian Anderson
Thriller. états-Unis. 1 h 44, 14/16
http://www.lematin.ch/fr/loisirs/cinema ... _34-207863
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Fred Ferrari - le 29 juillet 2008, 20h27
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Le prétexte pour faire sortir Mulder de sa tanière (et raser sa barbe) et Scully de l'hôpital où elle opère? Sauver une agente du FBI portée disparue. Seul indice: le témoignage d'un prêtre pédophile qui se prétend médium. Evidemment, Mulder y croit. Evidemment, Scully est sceptique. Evidemment, elle est ébranlée dans ses certitudes scientifiques, elle qui s'acharne à guérir un gamin atteint d'une maladie grave. Evidemment, Mulder ne peut prouver ses intuitions. La confrontation sans cesse renouvelée de la foi et de la science, quand chacune atteint ses limites, peut reprendre de plus belle.
Force est de constater cependant que l'ingrédient essentiel de la série originelle, le surnaturel, est aux abonnés absents. Malgré des yeux qui pleurent du sang, trois intuitions ne font pas de grands frissons. Les fans de la série se consoleront peut-être par la seule joie des retrouvailles; le spectateur lambda, lui, aura l'impression d'assister à un énième thriller du genre, vaguement mâtiné de «frankensteinisme» moderne. Bref, ne vous attendez pas à flirter avec les frontières du réel, sous peine de devoir chercher la vérité ailleurs...
The X-files - Regeneration (*= on essaie)
De Chris Carter. Avec David Duchovny, Gillian Anderson
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Re: [Critiques Presse]
et finalement le Temps
http://www.letemps.ch/template/culture. ... cle=236841
Chris Carter solde «X-Files»
Dix ans après, la série cède au prêchi-prêcha.
Thierry Jobin
Mercredi 30 juillet 2008
Il fut un temps, de 1992 à 1998, où Chris Carter, ancien rédacteur en chef d'un magazine de surf, savait transcender son flair commercial. C'était l'époque de la série X-Files, neuf saisons et un film (X-Files: Combattre le futur de Rob Bowman, 1998) en parfaite connexion avec l'humeur de la société. Dix ans et un procès plus tard (contre le studio Fox qu'il accusait de n'avoir pas honoré une clause lui réservant une partie des profits), Carter revient, derrière la caméra, avec un film aigri et calculateur.
Calculateur parce que Chris Carter, qui n'est pas né de la dernière pluie hollywoodienne, sait qu'un film ne peut espérer crever le plafond du box-office qu'à une seule et unique condition: toucher les 15-25 ans. C'est ainsi que le producteur-scénariste-réalisateur solde à peu près tout ce qui faisait le prix de sa création: évacués la théorie du complot, le mystérieux homme à la cigarette, les présences extraterrestres, ainsi, d'ailleurs, que tout élément surnaturel. Un comble!
En lieu et place, Chris Carter lance les agents retraités Fox Mulder et Dana Scully (David Duchovny et Gillian Anderson, qui multiplient les efforts, louables, pour démontrer qu'ils ne sont pas uniquement là pour le cachet) aux trousses d'un prêtre pédophile et d'un docteur Frankenstein russe. Bref, un énième film de tueur en série, bavard, lent et prétentieux, aussi crédible qu'un roman de Ron Hubbard et qui n'a décidément de X-Files que le titre.
Nouvelle génération
Intéressant le titre, d'ailleurs. En anglais, X-Files: I Want to Believe (Je veux croire) traduit pleinement l'effroyable prêchi-prêcha mystico-religieux dans lequel le film est empêtré: ce qui est d'autant plus rébarbatif que Carter, à défaut de génie visuel, pouvait au moins, autrefois, s'appuyer sur ses scripts. En français, X-Files: Régénération trahit tout le problème posé à Carter: s'adapter à la nouvelle génération de spectateurs, pas née ou en barboteuse lorsque sa série est apparue. Une génération passionnée par l'essor des nouvelles séries, de Lost à Heroes.
X-Files: Régénération (X-Files: I Want to Believe), de Chris Carter (USA 2008), avec David Duchovny, Gillian Anderson, Amanda Peet, Billy Connolly, Callum Keith Rennie, Xzibit. 1h44.
http://www.letemps.ch/template/culture. ... cle=236841
Chris Carter solde «X-Files»
Dix ans après, la série cède au prêchi-prêcha.
Thierry Jobin
Mercredi 30 juillet 2008
Il fut un temps, de 1992 à 1998, où Chris Carter, ancien rédacteur en chef d'un magazine de surf, savait transcender son flair commercial. C'était l'époque de la série X-Files, neuf saisons et un film (X-Files: Combattre le futur de Rob Bowman, 1998) en parfaite connexion avec l'humeur de la société. Dix ans et un procès plus tard (contre le studio Fox qu'il accusait de n'avoir pas honoré une clause lui réservant une partie des profits), Carter revient, derrière la caméra, avec un film aigri et calculateur.
Calculateur parce que Chris Carter, qui n'est pas né de la dernière pluie hollywoodienne, sait qu'un film ne peut espérer crever le plafond du box-office qu'à une seule et unique condition: toucher les 15-25 ans. C'est ainsi que le producteur-scénariste-réalisateur solde à peu près tout ce qui faisait le prix de sa création: évacués la théorie du complot, le mystérieux homme à la cigarette, les présences extraterrestres, ainsi, d'ailleurs, que tout élément surnaturel. Un comble!
En lieu et place, Chris Carter lance les agents retraités Fox Mulder et Dana Scully (David Duchovny et Gillian Anderson, qui multiplient les efforts, louables, pour démontrer qu'ils ne sont pas uniquement là pour le cachet) aux trousses d'un prêtre pédophile et d'un docteur Frankenstein russe. Bref, un énième film de tueur en série, bavard, lent et prétentieux, aussi crédible qu'un roman de Ron Hubbard et qui n'a décidément de X-Files que le titre.
Nouvelle génération
Intéressant le titre, d'ailleurs. En anglais, X-Files: I Want to Believe (Je veux croire) traduit pleinement l'effroyable prêchi-prêcha mystico-religieux dans lequel le film est empêtré: ce qui est d'autant plus rébarbatif que Carter, à défaut de génie visuel, pouvait au moins, autrefois, s'appuyer sur ses scripts. En français, X-Files: Régénération trahit tout le problème posé à Carter: s'adapter à la nouvelle génération de spectateurs, pas née ou en barboteuse lorsque sa série est apparue. Une génération passionnée par l'essor des nouvelles séries, de Lost à Heroes.
X-Files: Régénération (X-Files: I Want to Believe), de Chris Carter (USA 2008), avec David Duchovny, Gillian Anderson, Amanda Peet, Billy Connolly, Callum Keith Rennie, Xzibit. 1h44.
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Re: [Critiques Presse]
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Re: [Critiques Presse]
Je viens de la lire sur Sortir.ch.fofolle a écrit :et finalement le Temps
Désolé, mais ce type n'a rien compris. Qu'il descende le film, c'est son droit et je ne nierai pas qu'il n'y a pas d'éléments pour le descendre. Cependant ces arguments, qui s'attaque plus au public cible qu'au film lui même, sont totalement à côté de la plaque et prouve qu'il ignore beaucoup de choses à propos d'X-Files.
De plus, quelque chose me dit que si le film avait contenu les éléments qu'il aurait voulu voir, il aurait aussi descendu le film en prétendant qu'X-Files ne savait pas se renouveler, faisait dans la facilité. Que le film plaise ou non, force est de constater que Carter nous a offert quelque chose que personne n'attendait. Pas sûr que beaucoup de suites au cinéma peuvent se vanter de cela.
Bref, j'ai lu presque aucune critique de presse et je pense que je n'en lirai pas d'autres. Négatives ou positives, si c'est pour lire les avis de gens ne connaissant bien souvent rien d'XF, ça ne m'intéresse pas !
hooo.. un ptit lu volant 
^ Greeting IRC que je n'ai plus quitté depuis que SebOS me l'avait trouvé pour #xphiles.
Repose en paix Coin-Coin, on t'oublieras pas ! Et maintenant, là où tu es, tu la connais LA vérité.

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Re: [Critiques Presse]
tout à fait luder; d'ailleurs il me semble que la plupart des critiques négatives sont le fruit de gens qui, à mon avis, n'ont pas vraiment compris ce que c'est x files.
Le Temps, il aurait dû venir hier à la séance; je regardais quel était le type de public - et bien en majorité des 30 et +, des femmes comme des mecs
l'important c'est de se faire sa propre opinion
Le Temps, il aurait dû venir hier à la séance; je regardais quel était le type de public - et bien en majorité des 30 et +, des femmes comme des mecs
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Re: [Critiques Presse]
Alain Carrazé
NEGATIVE
Entre critique négative du film et déception de fan de série
http://alaincarraze.blog.canal-plus.com ... ation.html
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MULDER: Dear Diary: Today my heart leapt when Agent Scully suggested spontaneous human combustion
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Re: [Critiques Presse]
Voilà j'ai ré ouvert ce sujet, Je ne souhaite pas que ce topic devient un champs de batailles, merci de bien vouloir respecter ceci.
- MH
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Re: [Critiques Presse]
Je ne sais si ce lien a été déjà posté mais voilà une critique constructive et positive du film. Enfin quelqu'un qui connait la série
J'ai trouvé l'analyse très pointue.
http://reflectionsonfilmandtelevision.blogspot.com/
MH
J'ai trouvé l'analyse très pointue.
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MH
aka Mary Keyboard