[Critiques Presse]
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Re: [Critiques Presse]
- Une critique de La Dernière Heure (Belgique) : bien mais...
X-Files : Régénération. Simplement pour le bonheur de retrouver Mulder et Scully
BRUXELLES Sur X-Files, Régénération, Chris Carter, le créateur de la série culte, avait donné quelques indices. Et il ne nous avait vraisemblablement pas menés sur de mauvaises pistes en présentant son dernier-né comme pas inabordable... Voilà qui décevra les fans les plus mordus des aventures aux frontières du réel des deux agents du FBI : il ne faut pas être un fan incollable de la série, encore moins un mordu de fantastique, pour comprendre le film. Pourquoi ? Parce que le scénario de Régénération a été construit en omettant totalement le côté science-fiction de son modèle. Dommage...
Dommage car Fox Mulder et Dana Scully (l'actrice a même embelli) n'ont, eux, rien perdu de leur mystérieux charisme. Leur duo est plus sexy que jamais. Dommage aussi parce que les vingt premières minutes du film nous lancent sur la voie d'un divertissement frissonnant (les recherches guidées par un médium dans une immense étendue enneigée inquiètent). Superbes images à la clé et musique haletante en fond sonore. Du grand thriller pense-t-on alors ! Hélas... La machine hollywoodienne s'emballe, abandonnant sur le bord de la route les fondements même de la série culte : ses histoires incroyables. Ici, en lieu et place d'un obscur monstre, Mulder et Scully sont confrontés à un prêtre pédophile. Et, plutôt que de combattre un homme loup, ils se retrouvent face à un bien piètre Dr. Frankenstein venu de l'Est (ah le beau cliché). Les grosses ficelles se dessinent à la moitié du film, les rebondissements s'enchaînent alors inutilement (mais qu'est-ce qu'il est fort ce Mulder !). Les fans de la série souffriront du peu d'inventivité qui se dégage du scénario. La mémoire de la série en serait presque bafouée...
Reste une bonne nouvelle qui concerne tous les non-initiés : ce 2e film inspiré, six ans plus tard, de la série, se laisse regarder comme un bon divertissement, (très) légèrement inspiré du Silence des agneaux (même goût pour le sang...). Mulder et Scully sont confrontés au réel, cette fois. Même si on les aime quand même, on les préfère nettement côtoyant l'inexplicable obscurité.
Charlotte Vanbever
- La Libre Belgique : encore moins bien
La vérité est ailleurs
A. Lo.
Mis en ligne le 30/07/2008
Chris Carter s'échine à relancer les aventures paranormales de Mulder et Scully
Six petites notes passé le logotype de la 20th Century Fox et nous revoilà plongés dans l'ambiance des X-Files. Sept ans après la fin de la série à succès qui marqua les années 90, qu'est-il advenu de Mulder et Scully, les deux ex-agents du FBI spécialisés dans le paranormal ? La seconde met à l'épreuve ses convictions de catholique pratiquante dans un hôpital. Le premier vit reclus, tel un ermite dans la grotte de Platon, qui ne voit plus de la réalité que le reflet déformé que lui renvoient les murs où il colle avec obsession des coupures de presse relatant des phénomènes inexpliqués. La disparition d'une agente du FBI, une enquête qui piétine et les visions d'un prêtre défroqué vont replonger le tandem au coeur des ténèbres.
La paranoïa et la quête spirituelle étaient les fondements de la série, résumée par les trois mantras du célèbre générique : "Je veux croire", "La vérité est ailleurs" et "Le gouvernement nous ment". Dans une nation dont la devise proclame "In God we trust", de telles assertions ne pouvaient qu'avoir des résonances particulières. Dans le film ne subsiste plus que la quête spirituelle. La paranoïa vis-à-vis du gouvernement n'a plus droit de cité, sept ans après le 11-Septembre - qui coïncide avec l'arrêt de la série. L'insistance avec laquelle la caméra s'attarde sur le portrait officiel de George W. Bush lorsque Mulder et Scully reviennent dans les locaux du FBI souligne avec ironie que les temps ont changé.
Exit donc la grande théorie du complot extraterrestre pour une enquête presque terre à terre où ne dominera, jusqu'à l'indigestion, que la crise de foi des deux agents préretraités. Du coup, les retrouvailles ont un petit goût de trop peu - n'était le plaisir de revoir l'un des plus beaux couples cathodiques depuis John Steed et Emma Peel. Mulder l'égoïste jusqu'au-boutiste retombe dans le paranormal jusqu'au cou, tandis que Scully fait sa sceptique. Les ficelles, invisibles ou presque sur petit écran, deviennent ici un peu grosses, ce que n'arrange pas une mise en scène peu inspirée qui surligne tous les effets. Est-on devenu moins bon public, ou les producteurs-scénaristes Chris Carter et Frank Spotnitz ont-ils perdu la main ? A moins que Mulder et Scully soient bel et bien d'une autre époque. On voulait y croire. Mais l'affaire semble cette fois classée pour de bon.
- Ciné Live : 2 étoiles (= bien) sur 5
Sur l’écran, tout est au rendez-vous. D’abord, Scully et Mulder, ce savoureux tandem dissonant composé d’un acquis à la cause extraterrestre et d’une fervente adepte du cartésianisme. Mais aussi la mise en scène au scalpel, distanciée, n’en rajoutant jamais côté effet putassier, la fameuse touche d’humour à froid, cette lumière glacée qui contribua beaucoup à l’identité visuelle de la série et, bien sûr, l’indémodable thème de Mark Snow. Et pourtant, une fois passée la joie de ces retrouvailles, force est de constater que l’entreprise tourne à vide. Sans doute à cause d’un scénario insipide et bâclant joyeusement sa résolution, très en deçà de ce que Chris Carter avait su nous offrir autrefois.
Xavier Leherpeur
X-Files : Régénération. Simplement pour le bonheur de retrouver Mulder et Scully
BRUXELLES Sur X-Files, Régénération, Chris Carter, le créateur de la série culte, avait donné quelques indices. Et il ne nous avait vraisemblablement pas menés sur de mauvaises pistes en présentant son dernier-né comme pas inabordable... Voilà qui décevra les fans les plus mordus des aventures aux frontières du réel des deux agents du FBI : il ne faut pas être un fan incollable de la série, encore moins un mordu de fantastique, pour comprendre le film. Pourquoi ? Parce que le scénario de Régénération a été construit en omettant totalement le côté science-fiction de son modèle. Dommage...
Dommage car Fox Mulder et Dana Scully (l'actrice a même embelli) n'ont, eux, rien perdu de leur mystérieux charisme. Leur duo est plus sexy que jamais. Dommage aussi parce que les vingt premières minutes du film nous lancent sur la voie d'un divertissement frissonnant (les recherches guidées par un médium dans une immense étendue enneigée inquiètent). Superbes images à la clé et musique haletante en fond sonore. Du grand thriller pense-t-on alors ! Hélas... La machine hollywoodienne s'emballe, abandonnant sur le bord de la route les fondements même de la série culte : ses histoires incroyables. Ici, en lieu et place d'un obscur monstre, Mulder et Scully sont confrontés à un prêtre pédophile. Et, plutôt que de combattre un homme loup, ils se retrouvent face à un bien piètre Dr. Frankenstein venu de l'Est (ah le beau cliché). Les grosses ficelles se dessinent à la moitié du film, les rebondissements s'enchaînent alors inutilement (mais qu'est-ce qu'il est fort ce Mulder !). Les fans de la série souffriront du peu d'inventivité qui se dégage du scénario. La mémoire de la série en serait presque bafouée...
Reste une bonne nouvelle qui concerne tous les non-initiés : ce 2e film inspiré, six ans plus tard, de la série, se laisse regarder comme un bon divertissement, (très) légèrement inspiré du Silence des agneaux (même goût pour le sang...). Mulder et Scully sont confrontés au réel, cette fois. Même si on les aime quand même, on les préfère nettement côtoyant l'inexplicable obscurité.
Charlotte Vanbever
- La Libre Belgique : encore moins bien
La vérité est ailleurs
A. Lo.
Mis en ligne le 30/07/2008
Chris Carter s'échine à relancer les aventures paranormales de Mulder et Scully
Six petites notes passé le logotype de la 20th Century Fox et nous revoilà plongés dans l'ambiance des X-Files. Sept ans après la fin de la série à succès qui marqua les années 90, qu'est-il advenu de Mulder et Scully, les deux ex-agents du FBI spécialisés dans le paranormal ? La seconde met à l'épreuve ses convictions de catholique pratiquante dans un hôpital. Le premier vit reclus, tel un ermite dans la grotte de Platon, qui ne voit plus de la réalité que le reflet déformé que lui renvoient les murs où il colle avec obsession des coupures de presse relatant des phénomènes inexpliqués. La disparition d'une agente du FBI, une enquête qui piétine et les visions d'un prêtre défroqué vont replonger le tandem au coeur des ténèbres.
La paranoïa et la quête spirituelle étaient les fondements de la série, résumée par les trois mantras du célèbre générique : "Je veux croire", "La vérité est ailleurs" et "Le gouvernement nous ment". Dans une nation dont la devise proclame "In God we trust", de telles assertions ne pouvaient qu'avoir des résonances particulières. Dans le film ne subsiste plus que la quête spirituelle. La paranoïa vis-à-vis du gouvernement n'a plus droit de cité, sept ans après le 11-Septembre - qui coïncide avec l'arrêt de la série. L'insistance avec laquelle la caméra s'attarde sur le portrait officiel de George W. Bush lorsque Mulder et Scully reviennent dans les locaux du FBI souligne avec ironie que les temps ont changé.
Exit donc la grande théorie du complot extraterrestre pour une enquête presque terre à terre où ne dominera, jusqu'à l'indigestion, que la crise de foi des deux agents préretraités. Du coup, les retrouvailles ont un petit goût de trop peu - n'était le plaisir de revoir l'un des plus beaux couples cathodiques depuis John Steed et Emma Peel. Mulder l'égoïste jusqu'au-boutiste retombe dans le paranormal jusqu'au cou, tandis que Scully fait sa sceptique. Les ficelles, invisibles ou presque sur petit écran, deviennent ici un peu grosses, ce que n'arrange pas une mise en scène peu inspirée qui surligne tous les effets. Est-on devenu moins bon public, ou les producteurs-scénaristes Chris Carter et Frank Spotnitz ont-ils perdu la main ? A moins que Mulder et Scully soient bel et bien d'une autre époque. On voulait y croire. Mais l'affaire semble cette fois classée pour de bon.
- Ciné Live : 2 étoiles (= bien) sur 5
Sur l’écran, tout est au rendez-vous. D’abord, Scully et Mulder, ce savoureux tandem dissonant composé d’un acquis à la cause extraterrestre et d’une fervente adepte du cartésianisme. Mais aussi la mise en scène au scalpel, distanciée, n’en rajoutant jamais côté effet putassier, la fameuse touche d’humour à froid, cette lumière glacée qui contribua beaucoup à l’identité visuelle de la série et, bien sûr, l’indémodable thème de Mark Snow. Et pourtant, une fois passée la joie de ces retrouvailles, force est de constater que l’entreprise tourne à vide. Sans doute à cause d’un scénario insipide et bâclant joyeusement sa résolution, très en deçà de ce que Chris Carter avait su nous offrir autrefois.
Xavier Leherpeur
- mudly
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Re: [Critiques Presse]
http://www.post-trib.com/entertainment/ ... me.article
Ça se discute mais c'est pas complètement faux...
Ça se discute mais c'est pas complètement faux...
So, we believe the same thing
- Burger
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Re: [Critiques Presse]
Pour faire le point sur les critiques anglo-saxonnes, je vous propose ce site qui résume très bien tout ce qu'on a pu lire jusque-là :
http://uk.rottentomatoes.com/m/x_files_2/
Selon le baromètre du site, le film atteint un score de 33/100, c'est bien mieux que La Momie 3 (10) ou Happening (19), mais moins bien que tout le reste : Hancock (38), Speed Racer (36), Sex & the City (51), Voyage au Centre de la Terre (61), Narnia 2 (66), Hulk (68), Wanted (73), Indiana Jones (76), Kung Fu Panda (88), Hellboy II (88), et très loin derrière Iron Man (93), Dark Knight (94) et Wall-E (96).
Fight the Future atteint le score de 63/100.
http://uk.rottentomatoes.com/m/x_files_2/
Selon le baromètre du site, le film atteint un score de 33/100, c'est bien mieux que La Momie 3 (10) ou Happening (19), mais moins bien que tout le reste : Hancock (38), Speed Racer (36), Sex & the City (51), Voyage au Centre de la Terre (61), Narnia 2 (66), Hulk (68), Wanted (73), Indiana Jones (76), Kung Fu Panda (88), Hellboy II (88), et très loin derrière Iron Man (93), Dark Knight (94) et Wall-E (96).
Fight the Future atteint le score de 63/100.
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Re: [Critiques Presse]
Burger a écrit :Pour faire le point sur les critiques anglo-saxonnes, je vous propose ce site qui résume très bien tout ce qu'on a pu lire jusque-là :
http://uk.rottentomatoes.com/m/x_files_2/
Selon le baromètre du site, le film atteint un score de 33/100, c'est bien mieux que La Momie 3 (10) ou Happening (19), mais moins bien que tout le reste : Hancock (38), Speed Racer (36), Sex & the City (51), Voyage au Centre de la Terre (61), Narnia 2 (66), Hulk (68), Wanted (73), Indiana Jones (76), Kung Fu Panda (88), Hellboy II (88), et très loin derrière Iron Man (93), Dark Knight (94) et Wall-E (96).
Fight the Future atteint le score de 63/100.
je crois que tu n'as pas trop compris le principe de ce site... plus le score est gros là bas plus le film est nul... le vote concerne le pourcentage de tomate qui sont lancé dessus.. d'ou le titre du site "Rotten tomatoes".....
- LeMartien
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Re: [Critiques Presse]
beh non il a trés bien compris ^^ il dit que c'est mieux que la momie qui n'a que 10/100
MULDER: Dear Diary: Today my heart leapt when Agent Scully suggested spontaneous human combustion
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Re: [Critiques Presse]
C'est étonnant de retrouver Wall e et Batman avec ces scores pourris, car moi aussi je les comprends comme Spooky!
Mais est-ce de la presse?? C'est pas plutôt des avis perso?
Mais est-ce de la presse?? C'est pas plutôt des avis perso?
The truth is out there.
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Re: [Critiques Presse]
Suffit de regarder les petites images pour vous convaincre.
Plus c'est bas, plus c'est mauvais et on aura une image d'une tomate esclaffée (le truc vert). Mieux c'est, plus on aura de pourcents et on aura une belle tomate rouge non esclaffée. Si vous doutez encore, regardez dans les commentaires. Les négatifs sont accompagnés de la tomate esclaffée et les positifs de la belle tomate.
Et puis même, ça paraît logique car autrement il faudrait être sacrément de mauvaise foi pour réussir à classer Wall-E comme étant le pire film du moment.
Plus c'est bas, plus c'est mauvais et on aura une image d'une tomate esclaffée (le truc vert). Mieux c'est, plus on aura de pourcents et on aura une belle tomate rouge non esclaffée. Si vous doutez encore, regardez dans les commentaires. Les négatifs sont accompagnés de la tomate esclaffée et les positifs de la belle tomate.
Et puis même, ça paraît logique car autrement il faudrait être sacrément de mauvaise foi pour réussir à classer Wall-E comme étant le pire film du moment.
hooo.. un ptit lu volant 
^ Greeting IRC que je n'ai plus quitté depuis que SebOS me l'avait trouvé pour #xphiles.
Repose en paix Coin-Coin, on t'oublieras pas ! Et maintenant, là où tu es, tu la connais LA vérité.

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- Spooky.
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Re: [Critiques Presse]
ha bon... pourtant le titre laisse penser le contraire... lol à moins que ceux qui postent là bas n'ont pas compris le principe.. lolLuder a écrit :Suffit de regarder les petites images pour vous convaincre.
Plus c'est bas, plus c'est mauvais et on aura une image d'une tomate esclaffée (le truc vert). Mieux c'est, plus on aura de pourcents et on aura une belle tomate rouge non esclaffée. Si vous doutez encore, regardez dans les commentaires. Les négatifs sont accompagnés de la tomate esclaffée et les positifs de la belle tomate.
Et puis même, ça paraît logique car autrement il faudrait être sacrément de mauvaise foi pour réussir à classer Wall-E comme étant le pire film du moment.
- MH
- Agent spécial du FBI
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Re: [Critiques Presse]
sources:http://www.xfilesultimate.com/forums/vi ... 2&start=40
GREAT review from the second biggest newspaper in Sweden!
When agent Dana Scully for the first time, with great scepticism, enters the office of FBI colleague Fox Mulder in the pilot episode of The X-Files, the camera pans over a poster with something that looks like a craft from outer space with the words “I WANT TO BELIEVE”. The poster is still present, and the phrase is a repeating mantra through the show.
It is not so much about believing in just about anything without any proof at all, but more that it might be a good idea to repaint the mental map when unexpected formations repeatedly turn up out in the field. Friends of order may of course be offended by the alien and Para psychological pling-plong that the two agents encounter, but in that case you are consequently forced to discard the whole genre that relinquishes the pretension of realism and instead plays with thoughts and turns perspectives. And that would be a shame.
Scully wants to believe, it is no coincidence that she wears a small crucifix around her neck throughout the years. But she is also a follower of accepted knowledge and quick to mobilise sceptic backfire whenever Mulder launches spectacular theories that contradict all common sense. He delivers a more intuitive approach, a flexibility of the mind that on one hand is well suited for the encounter of the apparently unexplainable, but on the other hand is less suitable for the interaction with stiff legged bigwigs at the FBI, where he is considered nuts.
The point is that great minds do not think alike, but in fact very differently. It is the differences between them that make Scully and Mulder invincible, […]. This internal dynamic and the elegant threads of intrigue is the greatness of the show. The reasoning never stops.
The old poster accompanies into the new movie. Mulder is rejected by the FBI and now keeps his untidy office in a house in the middle of nowhere. Scully has left the bureau and returned to medicine. Both of them are called in when an agent goes missing under unclear circumstances and all hope goes to a convicted priest who claims to see things connected to the case.
What can you believe? And who and what do you really want to believe in? The dynamic duo is reunited, and the reasoning is picked up where it was left many years ago.
Both the characters and the questioning have matured in a pleasant way. The X-Files: I WANT TO BELIEVE has got a suggestively moderate temperament with a resolute tone. Scully’s and Mulder’s common past and the lost that they suffered is exceptionally nicely told through simple indications.
They are so beautiful together. They continue to fight in this sinister and daunting world which, with the poetic words of Rumsfeld, is inhabited by both the familiar unfamiliar and the unfamiliar familiar. Most of all, they believe in each other and in the power that they mutually can assemble, and they deserve to be role models to all of us. 5/6
LOVE the end!
GREAT review from the second biggest newspaper in Sweden!
When agent Dana Scully for the first time, with great scepticism, enters the office of FBI colleague Fox Mulder in the pilot episode of The X-Files, the camera pans over a poster with something that looks like a craft from outer space with the words “I WANT TO BELIEVE”. The poster is still present, and the phrase is a repeating mantra through the show.
It is not so much about believing in just about anything without any proof at all, but more that it might be a good idea to repaint the mental map when unexpected formations repeatedly turn up out in the field. Friends of order may of course be offended by the alien and Para psychological pling-plong that the two agents encounter, but in that case you are consequently forced to discard the whole genre that relinquishes the pretension of realism and instead plays with thoughts and turns perspectives. And that would be a shame.
Scully wants to believe, it is no coincidence that she wears a small crucifix around her neck throughout the years. But she is also a follower of accepted knowledge and quick to mobilise sceptic backfire whenever Mulder launches spectacular theories that contradict all common sense. He delivers a more intuitive approach, a flexibility of the mind that on one hand is well suited for the encounter of the apparently unexplainable, but on the other hand is less suitable for the interaction with stiff legged bigwigs at the FBI, where he is considered nuts.
The point is that great minds do not think alike, but in fact very differently. It is the differences between them that make Scully and Mulder invincible, […]. This internal dynamic and the elegant threads of intrigue is the greatness of the show. The reasoning never stops.
The old poster accompanies into the new movie. Mulder is rejected by the FBI and now keeps his untidy office in a house in the middle of nowhere. Scully has left the bureau and returned to medicine. Both of them are called in when an agent goes missing under unclear circumstances and all hope goes to a convicted priest who claims to see things connected to the case.
What can you believe? And who and what do you really want to believe in? The dynamic duo is reunited, and the reasoning is picked up where it was left many years ago.
Both the characters and the questioning have matured in a pleasant way. The X-Files: I WANT TO BELIEVE has got a suggestively moderate temperament with a resolute tone. Scully’s and Mulder’s common past and the lost that they suffered is exceptionally nicely told through simple indications.
They are so beautiful together. They continue to fight in this sinister and daunting world which, with the poetic words of Rumsfeld, is inhabited by both the familiar unfamiliar and the unfamiliar familiar. Most of all, they believe in each other and in the power that they mutually can assemble, and they deserve to be role models to all of us. 5/6
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aka Mary Keyboard
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Re: [Critiques Presse]
Le Figaro du 26 août range x-files dans la catégorie "véritable échec"...
greaaaaat...
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